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Le nuage noir
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> Le nuage noir 11 septembre 2005, patrcik IP:c9da618fa7f3e708
Fan de Stephen King, j’y ai retrouvé un peu de lui car ce nuage il le rendit palpable dans un de ses maintes ouvrages, sauf que les médias devenaient muets, rongés par la "chose" et renforçant par là la terrible solitude du rescapé qui, lui aussi, ne laissera qu’un carnet que plus personne ne lira, fin inexorable.
L’usage du présent renforce l’émotion, l’idée du voisin est géniale car la phrase reste en mémoire. Reste cette télévision par trop irréelle ou alors pas assez explicitée.
> Le nuage noir 12 septembre 2005, florine IP:0454d63fc8403780
Mes premières lectures c’étaient du Stephen KING. C’est lui qui m’a donnée envie d’écrire, (il y a a eu d’autres par la suite). Mais il reste pour moi un coup de cœur.
Je suis d’accord cet épisode de télévision, pourtant important,n’est pas mis en valeur.
merci de ton commentaire
En tout cas à toi grand merci d’accepter cette critique. Je partage ton avis : tu pourrais améliorer cette intrusion de la télé et je suis sûr que tu as une idée. Rien ne t’empêche ici de la montrer car après tout c’est bien le lieu du dialogue, de la construction entre auteur et lecteurs.
Je crois que ce média est un élément qui te distingue de SK pour éviter la redite et surtout que ton idée reste tout à fait crédible du moment que tu aides un peu celui qui te lit.
A tout de suite ...
non je n’ai pas vraiment d’idée. Quand j’écris c’est comme la boulimie, irrationnelle et compulsive. Mais ce paragraphe mérite d’être revu, je vais donc essayer.
si tu proposes ton aide(on peut toujours demander), j’accepte avec joie......
Au coin du paragraphe je vous attends. Vous connaissez le chemin...
Remarquez qu’en relisant je découvre des éléments surprenants comme ce mélange de panique ("quelques hurluberlus criaient, puis des peuples entiers", "sortir, courir, échapper", "Des sirènes retentissent", "j’entends des hurlements") et une douce résignation dont le sublime "Courir c’est bien quand on part quelque part il me semble" et le redoutable voisin). Finalement la télévision vient ressasser ce qu’elle sait faire : les actualités mais si distantes que l’on n’y prête qu’une bouchée discrète. Elle devient l’horloge de la fin du monde et on imagine sans peine le journaliste bien coiffé lire ses rubriques, voire une page de publicité.
Il y a de la démesure ici et on y ajouterait une petite musique légère ou carrément en fond sonore une bande d’actualité aussi banale que ce que l’on entend tous les jours que l’on finirait par jeter un coup d’oeil à la fenêtre.
Ce nuage noir révèle notre inconsistance ou notre ultra médiatisation qui fait de nous nos propres spectateurs.
j’essaye bien de revoir cette histoire de télé, mais les mots s’allongent et je trouve cela vide.
mais ton dernier commentaire sur ce sujet m’a donné une piste....
> Le nuage noir 11 septembre 2005, Delphine Lemaire IP:1967863ec23cf823
Un texte qui se déroule comme une terrible cauchemar....L’apocalypse selon Florine....mélange d’inéluctable et de mystère....
> Le nuage noir 11 septembre 2005, florine IP:9bf3453506bc0842
merci de ton commentaire. Au fond c’est cela que j’aime le plus le mystère.
> Le nuage noir 11 septembre 2005, Pierre DKR IP:cfbb337c16d87562
"Dieu reprend ses billes" ? alors si le âmes sont des billes, en gros, tu nous traite de billes, quoi...
:)
J’ai bien aimé ce texte, surtout curieuse coincidence, j’etais en train de jouer avec des idées de texte senblable tout a l’heure...
Le hic, toujours, lorsque l’histoire est ainsi narrée au présent comme écrite "sur le vif", c’est que ce ne sont pas les mots que je m’imaginerais coucher sur le papier si je savais que c’etaient les derniers...trop de recherche je trouve, pas d’émotion immédiate...
> Le nuage noir 11 septembre 2005, florine IP:9bf3453506bc0842
j’ai le même problème. Je trouvais ce texte trop simple. Mais si j’étais dans son cas, j’écrirais avec mon cœur sans fiotirures linguistiques.