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Au nom de la prose
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Au nom de la prose 29 octobre 2005
Enfin, j’arrive à déposer un commentaire. J’ai beaucoup de problèmes avec ma connection. Etant très allergique au jardin et au reste, je suis pressée de voir arriver les limaces( sourires)
Au nom de la prose 29 octobre 2005, patrcik IP:d47c734fadffca51
Et si les limaces se mettaient à faire la grimace ? Faudrait trouver un autre remède à ces invasions à répétition ! Ravi de vous trouver ici alors que je suis en plein jardinage. Merci toujours, merci encore d’être venue Vénus !
Au nom de la prose 27 octobre 2005, Delphine Lemaire IP:ca1c5014d59b9346
Cher Ami, en lisant votre texte, je me suis soudain demandée si vous ne consommiez pas un peu de ces plantes étranges qui poussent au fond de votre jardin....
Je plaisante bien évidemment et vous dire que ce texte m’a beaucoup amusée serait encore trop peu.
J’attends avec une impatience non dissimulée l’histoire des limaces ayant été capables de venir à bout de ces monstruosités végétales....
Merci pour cet instant de doux délire....
Au nom de la prose 28 octobre 2005, patrcik IP:4db765f7ae925253
Merci de votre venue qui, dans le silence de ces murs oppressants où quelques flammèches créent encore l’illusion d’un coin feutré, m’apportent une réelle aubaine pour vous dire combien peu m’importe le nombre lorsqu’une seule personne de votre qualité accepte de baisser les yeux sur ces écrits qu’il m’arrive encore de poser. Soyez assurée de ma satisfaction et au-delà d’un ton un peu acerbé, recevez mille baisers.
Au nom de la prose 27 octobre 2005, Mademoiselle IP:309c797732678208
Clap ! Clap ! Clap !
Fa-bu-leux !
Un nectar de plus dont vous seul avez le secret.
J’attends la suite avec grande impatience... Et vous relis avec le même plaisir.
Allez, j’y retourne !
Merci pour ce soleil de sourires...
Amitiés
Nady-Mary
Au nom de la prose 27 octobre 2005, patrcik IP:4d5e52e4476c453f
Merci d’aimer cette histoire retrouvée au fond du jardin et qui manquait cruellement de fondement (c’est pour cela que je me suis permis d’y ajouter ce passage). Le Père Magloire reste mon éternel ami et j’aime me camper en ce narrateur au seul bras. Soyez embrassée pour votre fidélité et cela sans vouloir vous embarrasser.