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Les mots cachés... que voilà belle invite au voyage sur ce sens mystérieux. Mots cachés ou mots tus, ils sont cousus mais se devinent au détour ici d’une rime et point besoin de les écrire : ils se lisent entre les lignes ou sur le visage de cet amant malhabile dont la langue ne se délit qu’un peu tard pour la Belle ravir (car qu’est-ce après tout que ces "envies païennes" qu’amour ?).

Quant à ces pudeurs, attention de les rendre feuilles mortes car toujours une au moins devra rester pour manifier cette union. Car la Vie ou la plume, tout est question d’équilibre.

Les mots cachés sont souvent les plus authentiques, malheureusement ils sont moins faciles d’accès, faut juste se donner la peine d’aller les chercher...
Merci Pat pour ton passage

Roland, un poème comme je les aime où on sent le cœur de l’auteur battre !
Il est difficile parfois de traduire en mots tout ce que l’on ressent, c’est acceptable quand les yeux parlent avec le cœur et que l’autre réussisse à les lire !
Puisse ce jour être arrivé !
Merci pour ce bel instant de lecture
Mes amitiés,

En fait, je suis plus à l’aise quand j’écris ce genre de choses que quand je les dis..... et puis il y a tant de signes qui parlent tous seuls.

Merci Moun pour ta lecture

Aveu pudique, peur de la brûlure peut-être, un très beau texte intimiste, Roland ...

Romantique à souhait, et Dieu sait que je le souhaite !

Amitiés

Franchement non ce n’est pas la peur de la brulure mais plutôt de la pudeur mal placée, (enfin c’était)

Merci Jean pour ta lecture