En réponse à..

Que ne le fais-tu, plus belle, plus intense seraient les retrouvailles.
Troublant ce conditionnel, comme si un non-dit empêchait la plénitude ? Je sens
une résignation...
Ceci dit, un texte magnifique.
Merci Delphine.

Le conditionnel n’est pas anodin comme tu l’as bien perçu, il induit toujours un "si". Si la vie avait été différente, si certains chemins s’étaient croisés avant, si...

De la résignation, peut-être pas, du réalisme, oui, c’est certain...

Merci Jacques d’avoir eu une lecture si fine et sensible de ce texte...

Amitié.

surtout ce paragraphe commençant par "Je pourrais te peindre mes mains inutiles qui te cherchent dans la nuit lorsque ton souvenir se transforme en présent. "

et la fin bien sur, les mots coulent naturellement, on croit les murmurer soi même...

L’imaginaire parfois remplace la réalité et c’est à ce moment là que tout devient douloureux. Les souvenirs sont parfois comme des fantômes qui reviennent nous hanter et quand le passé se mêle au présent nous ne réussissons plus à trouver notre place entre les deux mondes.

"Les mots coulent naturellement, on croit les murmurer soi même..." peut-être parce que ces mots sont vrais et que je les ai déjà murmurés...

Merci de ton passage qui me touche toujours.

Bises.

Un beau texte poétique Delphine. J’aime beaucoup

Eh bien Aimela, tu m’as l’air toute tristounette...Qu’est ce que t’arrive ?

Merci d’avoir aimé...

Amitié.