En réponse à..

Tu pourrais presque le rendre humain... )
Un très beau texte, dommage qu’il soit écrit pour un personnage qui n’en vaut pas la peine !!! Hihihi
Sourire provoc... tant pis si je choque !!!

LOL !

Allons, allons Vanina il était très bien notre Napoléon.. ;o)

Bon et puis on ne fait pas la guerre sans casser quelques œufs, et puis c’est à cause des Anglais qui lui en voulaient, na ! )))

pour ne pas être répétitive je suis à 100% d’accord avec jean marin, qu’importe l’homme devant les adieux à la vie, et devant la souffrance nous sommes tous égaux.

un texte bien émouvant

Merci Florine

L’homme en effet qui se veut frère, se retrouve toujours à égalité avec les autres devant la mort. Cet arbitre là est implacable !

Finir sa vie dans l’isolement n’est peut être pas non plus la chose la plus enviable, mais celle-ci fut tellement remplie que, finalement, il ne pouvait avoir qu’un seul regret..celui d’avoir quitté Joséhine...

Amitiés ;o)

Au-delà du personnage historique que l’on aime ou pas, que l’on admire, vénère ou déteste, il y avait l’homme ... Et devant la mort, il n’y a plus que l’homme ...
Et devant un homme qui meurt en pensant aux siens, on s’incline ...
Chapeau, Bernard ... Très émouvant !

Amitiés

Merci Jean Marin.

Je ne pouvais pas dire que j’aimais tellement le père Napo, il y a quelques années mais Delphine et surtout un film à la télé me l’ont fait aimer..

C’était tout simplement un génie de stratège, mais aussi un ambitieux qui ne reculait jamais... Sauf et comme nous le devrons tous, devant la mort..

Et sur ce point nous sommes tous égaux et nos pensées ultimes seront dirigées, pour beaucoup, vers ceux que l’on aime..

Ce ne sera pas la mort qui nous fera souffrir mais l’idée de ne plus jamais être en compagnie de ceux qui nous ont accompagnés tout au long de notre vie.