Vie & labyrinthes 23 février 2007, Claudie Becques IP:0363a426d5c36092
Je vois davantage en ce texte une espèce d’auto-psychanalyse.
N’y vois surtout pas une critique, parce que nous utilisons presque tous l’écriture pour celà.
J’espère que celà t’aura aidé à y voir plus clair. 
Vie & labyrinthes 23 février 2007, rien2rien IP:f7d5059ceedfbc86
Autrefois, je voyais "quelqu’un" à aider, psychanalyser, au secours duquel aller ! Aujourd’hui, et bien malgré moi , je ne vois ni ne trouve plus personne...!
Ne prends pas cela non plus pour toi, Claudie ! Juste que cette phrase a giclée et résume bien le merdier dans lequel "je" me trouve... depuis !
Infiniment,
Paskal.
Vie & labyrinthes 22 février 2007, Aimelasorc IP:34f010e43d6f22b5
Bienvenu sur la plume, j’espère que tu te plairas. on a toujours l’impression de répéter nos malheurs. On sort d’une tuile, il y en a une autre qui se pointe, je connais. J’essaie de faire autrement mais cela ne change riencar tout pendant qu’on a pas compris le pourquoiles événements s’acharneront.
Vie & labyrinthes 22 février 2007, rien2rien IP:f398c32276350e1b
Merci pour ton commentaire, Aimelasorc !
En ce qui me concerne, je ne pense pas que les évènements s’acharnent sur nous, mais traduisent plus volontiers une invitation à s’élever au-delà de leur sempiternelle configuration ou circuit !
Si, à maintes reprises, il nous est donné de goûter aux délices de sa roue, à maintes reprises également nous est offert l’opportunité de voir qu’elle ne représente pas tout et qu’il est difficile, voire vain, d’y reposer "ce que nous sommes et ce qu’est la vie" !
Vient peut-être un moment où autre chose s’ouvre, se déclare, fait parler le Fonds des choses ?
Amicalement,
Paskal.