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Jardins sans je
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Jardins sans je 28 février 2007, genou IP:366ec3e0b5686d6c
Un texte d’amour ou de réflexion sur l’amour. je trouve cette chanson un peu triste comme ces vers.
"S’enflammaient comme des soleils
Toutes ces vies sans feu
Toutes ces nuits sans sommeil
Tous ces jardins sans jeu
Tous ces jardins sans je"
Amicalement Genou
Jardins sans je 28 février 2007, rien2rien IP:cb8e2f601f0ab9ae
Merci Genou !
Quand je dis "S’enflammaient comme des soleils"... , je cherche à donner l’image de choses, jusqu’alors éteintes, se métamorphosant en quelque chose d’incandescent, saturé d’énergie, de chaleur et de lumière, comme le soleil : donc passant de "mortes à vivantes" !
Ou encore que "Toutes ces vies sans feu, nuits sans sommeil"... s’enflammaient comme des soleils "renaissant en eux-mêmes", sortant de leur nuit...
Je comprends mieux maintenant pourquoi ça puisse prêter à confusion , Genou, mais il me semble que, remis dans le contexte, on puisse bien percevoir ou saisir de quoi il est question ici : enfin je crois, ou espère ?
Toujours est-il que ta remarque est judicieuse, sans pour autant me faire trouver ce texte triste, du moins pas en son fond (il me semble partir de la Lumière, rencontrer "quelques" ombres au passage et, finalement, retourner à son Point d’Origine : le "Qui" l’on "Demeure" !
à suivre et... encore merci !
Paskal.