En réponse à..

En marge des jours, en marge du livre, je suis tes chemins de mots et de vie.
Aspirée par ce texte qui se termine déjà ??
Las, j’eusse aimé qu’il continue... est-ce trop demander ?

Cléo d’impatience.

Cléo , ma belle Cléo dont j’aime tant les mots, quel bonheur que tu te sois posée ici..
Cela va continuer, n’aies crainte, car ce qui débute ici avec ce premier texte, qu’il m’a fallu des années avant de cracher et que seules deux ou trois personnes ont eu les premières épreuves sous les yeux, est une condensation de l’histoire de ma vie et de mon "analyse" aux côtés un homme d’exception , qui est resté un ami, un confident , un avec qui je partage encore aujourd’hui l’écoute des malades, la passion pour Jankélévitch, le souci de cette relation très complexe entre langage du corps et langage tout court..Merci de ta présence..Bisous belle Pharaonne.

On n’ouble jamais totalement les blessures du cœur. Pardonner, c’est possible, avec du temps, beaucoups de temps. Les beaux souvenirs sont les seuls à pouvoir adoucir, seulement on a tendance à les laisser s’envoler alors que c’est eux qui faut garder. et les faire sessurgir au moment où l’on bascule dans les tourments

Amitié
Aimelasorc

Oui, Aimela, c’est ce à quoi je m’attache aujourd’hui, faire un tri. Il arrive un âge où l’on ne doit plus porter des valises trop lourdes. Comme dit la sagesse boudhiste : "le sage n’encombre pas sa barque". Aujourd’hui, mes trois petits étaient là. Un bonheur.
Amitiés à toi..