En réponse à..

Je ne sais pas si "l’usage" le permet, mais il me paraît important d’apporter moi-même un commentaire : j’ai conscience que ce texte peut heurter celui ou celle qui a perdu un être cher dans des circonstances aussi dramatiques qu’incompréhensibles du suicide.
Mon intention n’est pas de heurter, il s’agit plutôt d’un "exorcisme" face à mes propres peurs et "pulsions" (Thanatos) et d’une question :dès lors que notre "issue" à tous est inévitable et connue, peut-on décider seul de son "terme" et, par là, faire un pied de nez au destin "assassin" ?
Amicalement, Frédéric

PS :
bien entendu la question reste ouverte et ne réclame aucune réponse puisqu’elle nous est strictement personnelle et profondément liées à nos croyances et convictions...