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Les enfants perdus des baraques bleues
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Les enfants perdus des baraques bleues 6 avril 2007, eden blu IP:febe6f54505d0398
On ne peut pas rester insensible à ce que tu écris, c’est vrai que nous sommes petits et que les âmes bien nées qui nous gouvernent devraient avoir honte de ce qui se passe dans le monde..Il est inadmissible que des enfants soient exploités, meurent de faim et j’en passe...Est ce qu’il sera suffisant de l’écrire, de mobiliser d’autres plumes pour remuer les médias ?
difficile de répondre, à voir !
bises
Eden
Les enfants perdus des baraques bleues 6 avril 2007, papabul IP:4c2eebcef2428afe
Merci Delphine pour ta complicité..
Est-ce si difficile, sans doute oui, puisque cela ne dépend pas de nous
mais en même temps... là... autours de nous...?
Je me suis souvenu d’un film américain de Mimi Leder, en 2002, que j’ai trouvé intéressant et original : "Un Monde meilleur" ("Pay It Forward") : En résumé : le jour de la rentrée, un jeune garçon, Trévor (Joel Osment), reçoit de son professeur (Kevin Spacey) un TP inhabituel : inventer un moyen de changer le monde et le mettre en pratique...
Il prend au sérieux cette étrange proposition et suggère un moyen de l’appliquer : il commence par aider de façon désintéressée trois personnes, qui deviendront ses obligées et devront chacune "passer le relais"’ à trois inconnus, qui à leur tour... (à la fin... mais si tu es curieuse, je t’incite à le voir, et préparer ses mouchoirs..)
on peut toujours rêver, non ?
Les enfants perdus des baraques bleues 6 avril 2007, Claudie Becques IP:ea600b7d0e70de64
Encore une preuve de cette grandeur d’âme !
Comme je suis encore sous le coup de l’émotion de ton poème qui n’en est pas un... (sourire).
Puis-je me permettre seulement une bise sur la joue du "vieux" rêveur en guise de commentaire ?
Clo
Les enfants perdus des baraques bleues 6 avril 2007, papabul IP:10a8ca56a10050ae
Claudie-amie,
que dire...
mais je n’y suis pour rien,
La faute à Jean-Claude et à Jean-Marin !
Ce sont eux qui les premiers, ont tendu les mains !
Je leur doit cette idée,
comme une chaîne d’amitié...
Ceci étant témoigné,
pour l’utopie à haute voix rêvée,
j’assume mes propres responsabilités...
En ce qui concerne la bise...
Comment veux-tu que je refuse ?
C’est la seule circonstance où dans ma vie je suis prêt à tendre les deux joues...!