En réponse à..

Salut Bwana,
Burkina moi adorer ça, jamais eu le moindre soucis, même lorsque nous rentrions la nuit à pied. Pas comme ailleurs où il valait mieux sortir accompagné ou de porte à porte en taxi. Inimaginable une balade le soir à Brazza, N’djaména, Dakar, ..
Dans les formations que je donnais, il y avait toujours des volontaires pour nous guider le week end et, bien entendu on les rétribuait, bien que cela ne fût jamais discuté avant avec eux. S’ils refusaient, ce qui arrive, alors on achetait des choses pour en faire cadeau à la famille. Ou alors on sortait accompagné par des agents du siège local de la CE et là plus facile puisqu’ils ont des plaques minéralogiques diplomatiques..

Souvent on tendait le passeport avec le fric dedans, au congo notamment, tu as raison de le souligner, même si nous trouvons cela choquant, il s’agit là clairement d’un sérieux complément au bas salaires des fonctionnaires (quand ils sont payés !)
J’ai adoré le coup de frein que des roues avant !

A Madagascar, antananarivo, pour faire le tour du marché et conseillé par un coopérant, nous avons carrément loué un flic, ils sont postés en bordure du marché et on peut les louer pour nous accompagner (ce qui est prudent pour écarter les marchands... mais surtout les nombreux pic-pocket !)

En route vers de nouvelles aventures !
Poésie éclair de circonstance
"Aux Urnes citoyens
Cirez vos botillons
Votez, votez,
Qu’un sang nouveau
éclaire vos maisons.
Aux Urnes ?
Un casse tête, oui
un casse b*rnes... aussi !"
hihi

Salut Frédéric ! Il est bon que des gens comme toi viennent confirmer par leur expérience ce que je raconte un peu en vrac et dans le désordre car on pourrait à la longue me prendre pour un mythomane.
Tout ce que je relate appartient à mon "vécu africain" ...un Continent qui parfois me manque cruellement mais il y a un temps pour tout !
Amitiés JC