Seule définitivement seule 10 mai 2007, papabul IP:554181027e1c8a70
Je n’aime pas trop l’idée du "définitif" au delà de la souffrance, de la rupture, du deuil, il y a autre chose, j’en suis certain..
ne faut-il pas "risquer" un espoir ? 
J’aime bien "ne plus croire, juste savoir", comprendre est si nécessaire pour dépasser le cap de désespérance..
C’est ce que je vous souhaite..
amitiés,
papabul
PS : puis-je me permettre une remarque ? dans les derniers vers :
Quand les pleuRS ne servent plus à rien
Quand plus aucun(s) geste(s) ne nous soutient (le pluriel s’impose-t-il s’il n’y a plus aucun geste ? ou alors au pluriel avec ’ne nous soutiennent’, qu’en pensez-vous ?)
Seule définitivement seule 10 mai 2007, Sofchadem IP:9a479b8e5d120bf5
Merci pour votre lecture. Je dois avouer que souvent l’émotion d’un instant peut me transporter dans des moments plus noirs. Ou l’espace d’un instant plus aucune espérance n’est possible et puis la nuit tombe et nous permet de renaître et d’y voir plus clair.