-
En réponse à..
L’âge de la disponibilité.
- Accueil
- Réactions
L’âge de la disponibilité. 17 septembre 2007, Aimelasorc IP:217f90943eaec8bd
Comme d’hab, je n’ai pas tout compris mais ce n’est pas grâve car l’essentiel si( sourire)et c’est le principal. Garder l’esprit ouvert au monde, aux gens, cultiver une curiosité saine vis-à vis des évenements ou des choses de la vie. être humain, c’est tout. Ai-je bien résumé tes propos ?
L’âge de la disponibilité. 17 septembre 2007, papabul IP:d4c0790129bcceb5
Salut, Aimela,
L’important est le sourire...
Qu’est-ce que tu racontes là ? Tu as au contraire tout compris et découvert, sous un flot de paroles "en l’air" l’essentiel du message : l’ouverture, le sens critique, la curiosité...
Donc, merci à toi pour cette lecture attentive et intelligente !
Amicalement,
Papabul
L’âge de la disponibilité. 16 septembre 2007, Pierre DKR IP:a7bc9eb0716c6a74
Amusant mélange, très dense, à tel point même que je ne saisis pas bien le propos...
une toute ptite remarque re/ disponibilité, le régime de la disponibilité n’est pas nécessairement à prendre en tant que "sanction", celle ci peut en effet être faite à la demande de l’interessé,tout comme le détachement, il s’agit de l’esprit du droit de la fonction publique, un peu long a expliciter ici, et s’il est vrai que cela peut être un euphémisme assez marrant, ce n’est pas toujours pejoratif !
courage !
L’âge de la disponibilité. 17 septembre 2007, papabul IP:d4c0790129bcceb5
Pierre,
tu as raison de préciser les choses et l’on peut effectivement demander d’être mis en disponibilité.
Ici le propos est de préciser que "l’âge de la disponibilité" est 18/20 ans, quand on a fini le cycle secondaire de l’école et que l’on s’engage soit dans la vie active, soit dans les études supérieures..
L’importance à ce moment de "disponibilité", n’est-il pas de rester également "disponible" intellectuellement parlant ? De ne pas faire fausse route dans la course au profit facile ou dans les études en ne voyant plus que cela.
N’est-il pas indispensable, quelque soit sa voie, de garder, coûte que coûte, ses "écoutilles" ouvertes sur le monde et sur les autres ?
Merci pour "le courage" que tu m’envoies, mais actuellement tout est OK, je ne suis pas "en disponibilité" professionnelle, mais je me suis rarement senti aussi "disponible" qu’actuellement : ce doit être le microclimat si particulier qui règne au sein des "plumes", sur ce site d’ouverture...
Amicalement
Papabul
L’âge de la disponibilité. 15 septembre 2007, Claudie Becques IP:2e59cb58cdeaa6d0
Mon cher Papabul, pour le coup j’en reste le bec cloué.
Partagée entre le regret de n’avoir pas poursuivi des études qui m’auraient très certainement permis de comprendre un peu mieux chacun des termes de ta plaidoirie, et la satisfaction, en ne l’ayant pas fait, d’avoir su rester en dehors de cette catégorie de gens que tu décrits.
Il me semble en effet que ma petite vie de simple employée est davantage propice au bonheur que la leur, où règnent l’ambition, l’égocentrisme et l’indifférence aux autres.
Avec mon tout petit BEP de secrétariat, je dénoncerai avec mon écriture toute simple jusqu’au dernier de mes jours "l’indifférence, la cupidité et toutes les formes d’intolérance", parce que vois-tu, je suis au moins sûre d’une chose : "I have a dream"... et c’est le même que toi.
Bien amicalement. Clo
L’âge de la disponibilité. 15 septembre 2007, papabul IP:d17aa9ea56820ff2
Chère Clo,
comme je l’écris, l’exemple des étudiants, n’est qu’un exemple parmi d’autre, mais il me permet de faire le lien avec la notion de "bourgeois" (petit bourgeois, beauf, personne arrogante et dédaigneuse...)
Et, également, de rappeler qu’à 18 / 20 ans, il est crucial de s’efforcer de rester éveillé au monde et de ne pas s’enliser dans la fête ou dans la "bûche" (dit-on "bûcheur" chez vous pour celui que ne lève jamais le nez des cours, et qui n’appréhende rien d’autre du monde que les matières dans lesquelles il s’est engagé ?).
Les "Ecoles" sont comme la vie, la "morale" est de ne pas se tromper de voie, quelque soit le point de départ. Ne pas s’égarer soit dans la recherche du "tout-tout-de-suite-tout-pour-moi", soit en attrapant "la grosse tête", la difficulté qu’il y a, sur le fil de la vie, de rester en équilibre entre "la raison" et "la passion" (?), de faire "bien" ce qu’on a à faire, quelque soit sont job, ses responsabilités professionnelles et familiales, sans perdre de vue le rôle que l’on a, selon moi, sur terre, dans l’ouverture aux autres, l’entraide, choisir le chemin de la générosité et du dialogue en évitant la facilité et le confort de l’égoïsme...
Certains on eu la chance, simplement la chance, de pouvoir faire des études complémentaires, ils ne sont pas enviables, bon nombre se trompent ensuite de chemin... voilà mon message, je fréquente des intellos à longueur de journée, beaucoup "se la pètent"... (ont la grosse tête) et, je t’assure que j’ai un contact bien plus humain avec le brocanteur/bouquiniste du coin de la rue où je travaille et qui vivote tant bien que mal en vendant des livres d’occasions... il n’a pas fait d’études, mais il ne vend rien qu’il n’ai lu... celui-là est GRAND !
Le nombre de fois que je n’ai pas interpellé des "juniors", fraîchement diplômés, qui passaient devant les réceptionnistes sans les saluer ! Leur rappelant le rôle important que chacun joue dans l’organisation, si personne n’accueille le client... qui paiera leur salaire de "junior ambitieux et présomptueux » ? C’est le genre d’attitude que je ne tolère pas, le respect est mutuel ou il n’est pas, et il passe nécessairement par tous !
Et je sais très bien que nous sommes sur la même longueur d’onde, généreuse amie-à-moi... Wouarf !
Papabul