En réponse à..

" Quel est le plus fort des deux", telle est la question.

Cela dépend de l’intensité du son, du bruit, de la voix.
S’il est fortissimo, on ne peut s’empêcher de l’entendre (être passif) même si on n’écoute pas (être actif). Si c’est un chuchotement, un bruissement d’aile, ou de soie de sa robe, il faut attentivement prêter l’oreille pour un rendu sonore et donc écouter pour l’entendre. Mais si on ne prête qu’une oreille distraite, c’est forcément sans intérêt. A fond sonore perdu en somme.
Bon j’arrête ...
Quant aux chinois, cela fait bien longtemps que notre langage leur paraît débridé.
J’aime bien ce genre d’exercice auquel tu t’es livré : la langue française est un fabuleux terrain de jeu dans lequel Raymond Devos fut un grand maître.

Merci Guido pour ce commentaire fort intéressant. La langue française regorge de surprises. Mais peut être en est-il ainsi de toutes les langues vivantes qui évoluent et "s’enrichissent" à mesure que le temps passe. Descartes ne comprendrait peut-être plus ses concitoyens !

A te lire, à bientôt.