En réponse à..

Cette phrase " De ce novillero
Qui meurt au bout du soir
Sous les coups du toro"

comme elle est belle, elle est teintée de sang et d’or.
J’aime cette sorte de descente aux enfers que nous offre ton poème, ce voyage dans lequel la musique est constamment présente, que ce soit sous la forme de gospels ou de flamenco. Ah, je retrouve l’amoureux de la guitare (sourire)

Tu me fais regretter de n’être qu’un vulgaire instrumentiste, j’enrage de ne pas avoir le talent de la composition..

cela restera mon grand regret.

Merci de ton passage Viviane

J’ai voyagé avec ton texte, comme un gitan au pays andalou... Force et tristesse confondues parcourent tous tes mots.
Sourire

Merci Vanina, heureux que tu aies voyagé, sur ces musiques......
@ + Roland

Il est magnifique et triste ton poème. J’aime ce refrain lancinant "Ily’a ces coups au cœur, ces bleus, ces pleurs" qui martelle cette souffrance

Oui j’ai éssayé en tout cas, de donner un rythme répétitif, un peu comme une litanie,
Si j’y suis parvenu, c’est tant mieux, merci bocou Aime.