En réponse à..

C’est étrange comme la mémoire déforme les souvenirs...tout paraissait toujours plus grand ou plus petit...et puis ces traces du passé que l’on retrouve, souvenirs bons ou mauvais....qui bouleversent et balayent tout sur leur passage....
Joli poème Viviane...

Oui, Delphine, ce sont surtout les proportions qui m’étonnent Mais aussi la vivacité avec laquelle les parfums, les bruits, les textures réapparaissent à la surface de la peau sur des stimuli très diaphanes.
Merci de ta lecture d’amoureuse des vieilles pierres.

Bah, mais j’y suis pour rien moi ;o)
Si j’avais pu dicter ces mots là, oui je l’aurai fait...
C’est un poème qui reveille des souvenirs passés ou avenirs pour nos enfants qui un jour se souviendront de leur maison d’enfance
Les bises sont acceptées et bien sûr retournées ;o)

koa koa koa, tu n’y es pour rien ?
allons, Toro, tu sais bien que tu y es pour quelque chose.

Bon, j’avoue aussi qu’un Poète qui m’est cher a inspiré cette promenade dans mes bois ;o))
travail collectif, finalement !

C’est magnifique ces souvenirs !

Et quel rythme encore dans le phrasé ! Je ne m’en lasse pas.

Tu le sais, moi je n’ai pas de maison d’enfance. J’aurais pu y retourner lorsque j’avais 30 ans... Mais c’était la maison de la mort et des fleurs qui n’ont plus aucun sens.

Yop, on croirait vraiment que tu t’es concertée avec Max : les mèmes libres circulent par le canal des champs morphogénétiques. Tu es une fée ma mie ! C’est une évidence...

je suis à la fois heureuse et émue que tu aies aimé ma maison d’enfance.
Le reste par mail, mais comme d’habitude, c’est un bonheur de te faire plaisir, mon Prince
Your fairy Queen et des tas de bisous très doux sur la joue !