En réponse à..

Merci Viviane pour le texte et les liens/photos. Je comprends que notre ami Patrcik ait pu être jaloux de ce très beau texte qui cavalcade comme un troupeau sur des terres sauvages.
Sourire

Ces chevaux posés (par qui.. le vent sans doute) sur une partie de cette terre qui t’est chère m’ont toujours impressionnés par la finesse du trait qui les a fixé là depuis... je crois que le troisième remonte à l’age de fer. Cela me faisait plaisir de rendre hommage à votre passion à toutes deux, (et je réfléchis à un hommage à Patrcik dont les commentaires fulgurants sont permanent délice.)

Merci Vanina, à bientôt.

J’ai galopé tes vers avec tellement de plaisir..J’ai pensé à un moment donné à Solutré et lorsque j’ai vu les images j’en suis resté bouche bée !
Et je me suis dit : Mais comment fais-tu ça, Viviane ?
Il y a ici, t’en souviens-tu, un cheval blanc sur le mur qui a entendu ces vers là ;o)

J’ai galopé les vers...

Voilà un début de poème Toro.. veux tu que nous en fassions un thème de duo ? Ou trio ou travail sur le plumier ?
Comment fais-je ? je ne sais. Ces chevaux me galopaient dans la tête depuis longtemps, ils sont sortis hier, s’ébrouant de leur long voyage, et maintenant, je sais qu’ils tiennent compagnie au beau cheval blanc dont j’ai fait connaissance chez toi.
Tu sais ce qui me ferait vraiment vraiment plaisir ? Si tu le veux.. ce serait de mettre un lien sous mon poème vers ton tableau. ainsi, par dela le temps et l’espace, nos chevaux seraient ensemble à deviser...

Merci Viviane pour ce superbe poème où crinière au vent la plus noble conquête de l’homme (ou vice versa) se montre sous son plus beau jour.
Les chevaux sont des êtres superbes et emplis de cette force tranquille qui rassurent et subjuguent....

Merci à toi, Hada de lo Lontano de t’être laissée emporter par mes chevaux blancs. Je ne suis jamais montée sur un cheval, un peu inquiète de ces grandes bêtes, mais la dernière fois que je me suis régalée à en voir fut une soirée du Cadre Noir de Saumur à Toulouse, un spectacle d’une beauté à pleurer. J’aime beaucoup de travail de haute école, on pourrait discuter des mérites respectifs de l’école viennoise, Espagnole ou française, chacune a ses spécificités et ses beautés, il reste que dans ce genre d’exercice, on sent la communion qui peut exister avec un animal, et ... c’est beau, réconfortant même. Bisous !