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Tanga est en filigrane dans tous tes textes, Annie, à tel point que j’ai été surprise de lire que sa disparition remontait à dix ans. Les rêves nous disent là où nous en sommes et ton interprétation de celui-ci semble pleine de sagesse... "La vie est là, simple et tranquille"...
Quant à la mosaïque de nos vies et aux couleurs du spectre, cela m’évoque l’aura, que l’on peut aujourd’hui
"photographier" ;j’ai eu l’occasion de le faire : c’est très étonnant...
Merci de tout ce que tu nous donnes à lire Annie et de ta belle sincérité.

Bonjour Cassiopée. C’est vrai, Tanga est assez présent dans mes textes. Mais c’est parce que je n’ai pas beaucoup d’imagination pour écrire et inventer des histoires alors je puise dans des cahiers que j’ai commencé à remplir fin décembre 1998. J’y mettais tout ce que j’éprouvais et vivais au quotidien, le week-end principalement, ils ont été plus efficaces que n’importe quel traitement médical pour m’aider à traverser une période difficile. Maintenant, depuis environ deux ans, je les feuillette et j’y trouve les points de départs à mes élucubrations. Et je me rends compte que le temps est un remède miraculeux car aujourd’hui je peux me retourner sans tristesse, sans regrets mais avec beaucoup de tendresse.
L’aura... bien sûr je n’y ai pas du tout pensé en écrivant. Très heureuse que cette lecture t’aie plu. Annie

C’est une belle description très évocatrice de ce kaléidoscope qu’est l’existence de l’être humain avec ses multiples facettes.
J’ai bien aimé ce texte très visuel et ... coloré.

Kaléîdoscope... c’est le mot qui me manquait ! Merci Guido, ton commentaire me fait très plaisir. Je craignais (un peu-beaucoup) de ne pas être comprise. Très bonne journée à toi. Annie