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Chronique d’une nuit ordinaire.
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> Chronique d’une nuit ordinaire. 10 août 2005, Viviane IP:b0e8c57f2ed969d2
Ah ahn, tu m’as bien perdue dans ce dédale...
Ah bon, c’est comme ça, là bas ?
j’y cours, rencontrer des lutins, mon rêve, merci Delphine de m’avoir fait à la fois rêver, frissonner, et rire.
> Chronique d’une nuit ordinaire. 11 août 2005, Delphine Lemaire IP:5d039f723a06e497
C’était encore bien pire en fait. L’hôpital était plein à craquer, alors certaines personnes qui auraient du se trouver dans un service plus spécialisé, étaient placées là où il y avait encore un peu de place....Mais j’aurais pu parler des aides soignantes mordues, griffées, insultées et j’en passe....des perfs arrachées avec le sang qui giclait partout sur les murs des couloirs...l’horreur à l’état pur...
Je t’avoue que j’étais vraiment contente de rentrer à la maison....
Heureuse que ce texte te fasse rire Viviane....
Bises.
> Chronique d’une nuit ordinaire. 10 août 2005, Clo IP:c83ada493903e6d3
J’ai beaucoup aimé ce texte plein d’humour !
J’y étais... la perf en moins !!! Bien retranscrit Delphine ! Je ne mettrai plus jamais les pieds dans un hôpital sans y repenser... (le moins souvent possible hein !!!!)
Bonne convalescence !
> Chronique d’une nuit ordinaire. 11 août 2005, Delphine Lemaire IP:5d039f723a06e497
Ma grand-mère me disait toujours : "il faut prendre son mal en patience"...alors c’est ce que j’ai fait. Je n’avais de toute façon pas le choix...!! Ca ne servait à rien de s’énerver, toutes les nuits c’était comme ça, rien n’y faisait pour les calmer, les infirmiers ont tout essayé, les comprimés, les camisoles, etc....rien à faire, elles arrivaient toujours à se promener dans les couloirs en vociférant comme des forcenées....Il vaut mieux en rire !!!
Sinon pour les hôpitaux, en effet, le moins souvent possible....!
Merci Clo....
> Chronique d’une nuit ordinaire. 10 août 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
Beaucoup d’humour pour cet univers inquiétant qu’est l’hopital. Il vaut mieux pas y aller malheureusement, on y est obligé quelques fois. Heureusement que c’est un hopital normal. J’ai malheureusement cotoyé un hopital psychiatrique pendant un an et demi pour visiter une personne très proche et je n’en suis pas du tout remise et cette personne non plus
> Chronique d’une nuit ordinaire. 11 août 2005, Delphine Lemaire IP:5d039f723a06e497
Tu sais au début j’étais très énervée, à la limite de l’agressivité car j’étais mal et j’avais besoin de silence et de repos alors ces nuits agitées me mettaient les nerfs en pelotes. Et puis après je me suis dit que de toutes façons il n’y avait rien à faire et que malgré leur folie elles avaient besoin de soin tout autant que moi...alors je suis devenue philosophe.
Mais je reste convaincue qu’il faut se tenir éloigné au maximum de ces lieux....
Merci de ta fidélité Aimela...