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Jean, le pauvre !
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Jean, le pauvre ! 19 octobre 2005, patrcik IP:7e43658548475d76
Sans la chute redoutablement efficace et bien écrite, je me serais fourvoyé de personnage. Qui est Jean ? J’avais donc cru que c’était le père, pauvre lecteur ! Je pense que "Dieu le père" m’a induit un premier temps en erreur. Car il est des pères comme des maux, on choisit le moindre (phrase creuse mais nécessaire à mon ego). Relisant encore et encore, ce "lui" en fin de premier paragraphe m’a certainement dévié. Oui, c’est bien cela qui est arrivé.
A ce propos, le mot "café" reste aussi équivoque, n’en doutons pas. Après tout, quoi de plus naturel qu’à l’issue du repas que de boire un café ? Mais là, BB signifie le lieu, le bistrot, le troquet. Etrange d’ailleurs car en nos campagnes, les cafés ferment en principe tôt et leur fréquentation connait leur pic de pollution ivresque avant le souper. Vous voyez, je me prend pour l’homme à la 403 et à l’imperméable (imperméable à tout égard aux auteurs !
Jean, le pauvre ! 20 octobre 2005, Bernard Blazin IP:b54b153c66aff2aa
Merci Colombo ;o)
je vais en parler à ma femme, mais avant que le bistrquet du coin ne ferme..
C’est vrai maintenant que dans nos campagnes à 20h00 il est impossible de boire un coup..
Un bien ? Un mal ? Sûrement un mal car autrefois sans télé et micro ondes et le modernisme qui nous a gagné, se rendre donc autrefois dans un café, pouvait être un plaisir à raconter histoires et bruits de village....
Les grands ont coupé court à toute conversation ! Cela ne se fait pas ! Maintenant après La daurade surgelée et le verre de vin piquette de la CEE on peut roupiller tranquillement devant Star’Ac ou Julien Courbet..Les volets sont clos et pas un rat dehors, ni même la queue d’un chat..Vive la campagne qui sent bon le Mac Do le soir au fond des bois..