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Chronique d’une journée ordinaire.
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Chronique d’une journée ordinaire. 4 novembre 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
Il y des moments Delphine où il est bon de rester couché. Cela évite les ennuis de tout genre . Bon courage( sourire)
Chronique d’une journée ordinaire. 4 novembre 2005, Delphine Lemaire IP:50b0f984612bd113
Merci Aimela.
En effet, certains jours on ferait mieux de rester sous la couette et de ne surtout pas s’aventurer à l’extérieur....
Chronique d’une journée ordinaire. 4 novembre 2005, patrcik IP:928ee8e547cf1fd9
Ah ! Que voilà aventures méritant d’être narrées pour qu’on puisse enfin se dire que notre vie (à nous) est un long chemin tranquille ! J’aurais aimé vous entendre hurler, taper ce volant étranger puis vous voir giffler l’impudent par qui tout se dénoue mais vous vous êtes contenue. Est-ce mieux ainsi ? Je ne sais pas car mon goût personnel va toujours à la démesure.
Attention, vous passez parfois à un style un peu télégraphique "d’où engloutissement immédiat" mais rassurez-vous j’ai eu plaisir à lire cette histoire et surtout, surtout, j’ai eu envie de vous consoler. N’est-ce pas cela l’essentiel d’accepter qu’un lecteur vous ouvre les bras et de lui donne réponse ?
Chronique d’une journée ordinaire. 4 novembre 2005, Delphine Lemaire IP:50b0f984612bd113
Voulez-vous échanger quelques heures de votre vie avec la mienne...?? Cela me reposerait un peu....
Je n’avais même plus la force de hurler, ni même de taper ou de gifler, c’est vous dire à quel point je me suis retrouvée ébranlée par toutes ces mésaventures...
Oui, consolez-moi, c’est d’ailleurs la seule et unique raison (inavouable disons-le) pour laquelle j’ai écrit ce texte...
Merci pour vos bras chaleureux....
Mon bras vous est toujours ouvert et telle la jetée, à chaque grain vous pouvez venir vous y réfugier.
Chronique d’une journée ordinaire. 4 novembre 2005, patrcik IP:928ee8e547cf1fd9
Suite de l’analyse...
On remarquera (car les premiers mots chez une femme sont essentiels, la suite devenant généralement une longue répétition monotone) le verbe "emmener" et non "conduire", ce qui est rassurant car il est bien visible que la femme NE sait PAS conduire : elle se laisse emmener avec ou sans roues dans une "boîte".
Au deuxième paragraphe j’ai eu peur un instant que vous parliez de votre boîte aux lettres postales. J’oubliais que nous n’étions que virtuels et je me suis soulagé les poumons d’un "ouf".
Ma lecture s’est ensuite arrêtée sur ce grandiose "je me suis sentie comme un caniche sur une trottinette" et j’ai eu beaucoup de joie à essayer de formaliser ce cliché très bien trouvé, je vous assure.
Chronique d’une journée ordinaire. 4 novembre 2005, Delphine Lemaire IP:50b0f984612bd113
"La femme NE sait PAS conduire"...Que préférez-vous : "la locomotive de vos railleries roulent sur les rails de mon indifférence" ou bien encore "la bave du vilain crapaud n’atteint pas l’aile de la blanche colombe"....???
Oui bien sûr, j’aurais peut-être du le préciser, nous ne sommes que virtuels. D’ailleurs je ne vois pas vraiment assise à 6h15 du matin prenant mon petit déjeuner dans la rue devant la boîte aux lettres....
Je savais que l’image du caniche vous plairait...Vous voyez que je pense à vous....!
Le cliché de cette locomotive est judicieusement choisie et mériterait d’ailleurs à elle seule un bel exercice de Plume. Relever le courrier aux aurores ? Pourquoi pas : il fût un temps lointain ou près de Poitiers le boulanger faisait sa tournée à 21h30 car il refusait de cuire son pain le matin.