En réponse à..

Un bien beau poème, pas facile, facile, mais avec de très belle sonorités.
Le fond : Une détresse dont on se protège en s’enfermant dans le silence...

Il y a tant de formes de silence : le silence complice, le silence bien être, etc... Chez moi, le silence a toujours été protecteur ; ne rien dire pour ne pas provoquer l’irréparable mais aussi pour éviter les blessures.

Merci pour ton commentaire Patrick.

Quelle tristesse alors qu’il y a aussi de beaux silences, lorsque les mots ne sont plus nécessaires et qu’un regard suffit..

Le plus compliqué est de surpasser le songe brisé par un mensonge aiguisé, certaines pages sont si difficiles à tourner... que peut-on espérer ou suggérer pour aider celui qui reste, celui qui souffre...?
Reprendre le jeu empathique, le plaisir de nouvelles rencontres pour offrir de jolies suites à nos idées, pour retrouver patiemment ces sentiments que tu protèges et caches prudemment dans tout ce silence...

C’est vrai Frédéric, il y a de très beaux silences lorsque la complicité est là, à quoi servent les mots quand des yeux qui se croisent savent dire ce qu’il y a à comprendre.

Mais il y a des silences qui font mal, qui blessent et ne renvoient que mépris.

Pourquoi tourner une page, est-il si difficile ? Tout n’est qu’une question de temps !

Merci de ta lecture toujours si précise.