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Il n’y a rien d’important
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Il n’y a rien d’important 11 janvier 2008, Claudie Becques IP:23b1e3d5c874ebd9
J’ai lu la plupart de tes textes Frédéric, chacun dégageant un peu plus d’émotion les uns que les autres, tantôt gais, ou tristes...
Mais là je dois dire que je te découvre un tout autre.
Ce texte est tellement magnifique, que je l’aurais mis dans poème, mais qu’importe la rubrique, je le range précieusement dans mes péférés, pour le retrouver facilement.
Amicalement.
Clo
Il n’y a rien d’important 12 janvier 2008, papabul IP:e4eace061f5d38b7
Merci pour ces compliments, Clo.
Effectivement j’ai hésité à en faire un poème ou à le mettre en l’état dans la rubrique poème. A défaut d’autre rubrique, comme ’lettre’ par exemple, je l’ai mis sous ’feuilleton’ puisque je reparle d’une ’loulou’.
C’est vrai aussi que j’aime essayer d’autres genres et varier les plaisirs
Je suis très flatté qu’il soit dans les textes que tu apprécies particulièrement
Merci pour cela également
Bises
frédéric
Il n’y a rien d’important 10 janvier 2008, Aimelasorc IP:2e9da92c979efe8f
Excuse moi de te demander ça mais qu’est-ce le Tanganyika ? Je ne connais pas. Très beau texte rempli de poésie, bravo Fred
Il n’y a rien d’important 11 janvier 2008, papabul IP:1688a465ac9eb61b
Chère Aimela,
le lac Tanganyika est un des plus grand lac d’Afrique (32.900 km2), il borde le Congo, la Tanzanie, le Burundi la Zambie..
J’ai passé ma première enfance à Bujumbura, capitale du Burundi (à l’époque ’rwanda-burundi). J’en ai déjà parlé dans l’un ou l’autre texte, comme des ’rugos’ qui sont un ensemble de cases où habitent une famille.
Je te remercie pour l’appréciation portée sur ce petit délire, c’est d’une certaine manière le résumé d’un autre texte, un dialogue (tu m’as inspiré et donné l’envie d’essayer de faire un récit sous cette forme) mais je n’en suis pas encore tout à fait satisfait..
bien amicalement,
frédéric
Il n’y a rien d’important 10 janvier 2008, Patrick G. Delay IP:e9aec26a4e3ba57c
Chapeau bas.
Je n’ai pas regardé le nom de l’auteur.
Au début j’ai cru que c’était une femme qui écrivait, l’intensité, la pudeur, la franchise des propos.
Puis j’ai vu que ce n’étais pas le cas mais j’hésitais.
Lorsque j’ai vu "Tanganyika" je n’ai plus hésité, je me suis dit c’est Papabul.
Bravo, très, très beau texte.
A te relire avec grand plaisir.
Il n’y a rien d’important 11 janvier 2008, papabul IP:1688a465ac9eb61b
Patrick, que dire devant un tel compliment...
merci et merci, pour la fidélité de tes lectures et la gentillesse de tes commentaires et plus généralement leur pertinence et leur humour
bien amicalement
frédéric