Le divergence du cœur 14 octobre 2009, ristretto IP:68ecf1a22ca1575c
comme quoi : il ne faut jamais remettre à demain ce que l’on peut faire aujourd’hui.
Si elle n’avait pas tant tergiversé ...
j’avoue n’avoir pas été super emballé par la forme, ni trop par le fond.... Sauf, que oui, je pense que nous pouvons aimer en histoires parallèles qui ne peuvent pas se comparer.
Tout le début me plait - sa propre incompréhension —
les détails "pratiques" lieux, circonstances.. alourdissent un peu et qu’importe ?
.. après, où se trouve les sentiments du mari ? il est abasourdi, certes, mais c’est son fils qu’il met en avant ( d’ailleurs ceci m’interpelle ), mais lui ?
ils semblaient être eux aussi en parallèles , non ?
Guido, à bientôt et merci !
Le divergence du cœur 15 octobre 2009, Guido Alaimo IP:e13e37730b34f35d
Ton commentaire me laisse penser que ce texte n’est pas vraiment parvenu à "maturité" puisque la lecture que tu en fais ne reflète pas ce que j’ai essayer d’exprimer. Comme quoi j’aurais dû "remettre à demain"... 
Quant au mari, dans mon esprit, s’il évoque le fils c’est parce qu’il se raccroche à ce qui pourrait encore la retenir ; face à la détermination de sa femme il a le sentiment qu’il ne peut mettre ses propres sentiments ou leur couple dans la "balance".
Oui, Ris, les amours parallèles et "différents" font partie de la complexité de la nature humaine et cette pluralité déroutante qui prouve que l’être est "hétérogène" a été maintes fois traitée en littérature et au cinéma.
Merci à toi pour ta lecture et tes remarques pertinentes.