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Superbe ! J’aime cette symbiose entre l’homme et la nature qui l’entoure. Il y a beaucoup de force dans ce poème et le rythme en est haletant jusqu’à la pause finale.
Merci Viviane

C’est gentil Hada del mar, oui, symbiose avec notre pauvre boule bleue qui n’en peut plus de violences.

Et puis, philosophie du détachement aussi, en arrière fond...
je te fais de gros bisous

Je ne vais pas plagier Patrick mais je suis obligé de dire moi aussi que la première strophe de ce poème est un pur bijou précieux :
- La métrique en est sublime ( 6 3 3) (2 4) (3 3) (6 6).
- Le rythme est d’une variété et d’une richesse qui suscite l’émotion et la curiosité.
- Le choix des idées, des mots et des images est une incitation superbe & magique au voyage de la Vie...
Le reste est tout à fait à la hauteur (sauf peut-être l’avant dernier vers à revoir un chouïa... de ces chairs ?)

Du grand art ma fée ! Du très grand art ! Je suis subjugué, comme d’hab !

Tu as raison, Merlin et j’aime lorsque tu m’aide à peaufiner mes textes, j’écris aussi pour avancer... en écriture, tous les conseils me sont chers et bienvenus. J’ai repris la fin voici ce que cela donne :

Et pourtant
Regarde tout là-haut
La tendresse de l’aigle
Il s’éloigne de tes peurs

Il a failli faire sang

Merci à toi aussi de ta lecture si amicale

Quoi de plus réjouissant et prenant que de retrouver Viviane et son souffle féérique ? J’ai laissé un temps mes pas suivre le rivage breton, odeur de fée (était-ce Vous ?) et là je me laisse conter merveille. Merci Auteur (ou Hôtesse du rêve ?) car vous n’en manquez jamais.

Au risque de me répéter (mais qui ira lire les commentaires déposés de çi de là ?) la première strophe devrait s’inscrire au fronton de nos journées pour les bercer de son chant merveilleux. Elle est sirène, nous ne sommes que particules debout mais fiers de savoir lire.

Humilité de nos pas, facilité à se laisser captiver...

Que vous êtes adorable Patrcik, et en un moment où la plume est d’une tristesse telle qu’elle ne met au monde que des textes qu’on devait lire une fois par an, pas plus...
Merci de votre visite emplie de charme et de pétillances, elle rend cœur à l’ouvrage.