Chronique d’une journée ordinaire. 4 novembre 2005, patrcik IP:928ee8e547cf1fd9
Attention Mesdames et Messieurs (je me laisse gagner par la téléréalité) Delphine va nous chanter sa journée et croyez-moi le bazar va commencer !
Fort intéressant ce "chirurgien esthétique" qui traduit la relation complexe entre ces deux féminités chères aux mâles : la femme et la voiture (ce n’est pas classé par ordre de priorité). Là où l’Homme mettrait "esthéticienne" (sa voiture se refait une beauté), femme (minuscule) y apporte une touche maladive voire pense qu’une amputation sera nécessaire. Surtout elle s’en remet à son ennemi (car sur ce terrain elle est complètement incompétente et non simplement incompétente) : le mâle sans lequel elle n’est rien. Elle ajoute enfin une touche maladive de propreté (le blanc) qui pourra se tâcher de rouge (exorcisation) par refus du cambouis jugé dégradant et noir.
Chronique d’une journée ordinaire. 4 novembre 2005, Delphine Lemaire IP:50b0f984612bd113
Bonsoir Sigmund Freud...
"Le mâle sans lequel elle n’est rien"....Je préfère ne rien répondre, je risquerais d’être désagréable.... ;o)))
Détrompez-vous cher Ami, j’adore tout ce qui est noir...donc le cambouis y compris...D’ailleurs quand, il y a quelques semaines, ma roue m’avait doublée, j’étais couverte de cambouis en allant la récupérer dans le fossé et je n’en ai pas fait une maladie....
"Une touche maladive de propreté"...ah je vous reconnais bien là, vous qui chevauchez votre aspirateur simplement vêtu du slip de votre maman....
;o)
Tiens c’est amusant car mon string est noir mais je ne sais pourquoi j’apporte cette double précision, un besoin maladif sans doute de décortiquer.
Vous voyez vous avez su provoquer un grand amusement dans ces commentaires car il m’est paru si aisé de m’introduire dans cette dualité : femme/voiture et de rebondir sur ces éternels clichés (que je déteste). Macho je ne suis... enfin je ne pense pas et conserve à la voiture son rôle basique : me déplacer.
Je n’aime que vous mais vous le saviez déjà 