En réponse à..

J’ai adoré ce texte, même si le mot larve ne me plait pas ! ( car il est insultant dans ma bouche .)
Je comprends tout à fait ce que ressent cette mère, partagée entre obligations et refuge ; c’est très, trop peut-être , prenant d’être mère, je sais !
Quand je m’évade, moi ce n’est pas dans la terre, c’est dans le vent, les yeux fermés !
Un seul petit bémol ; dans la phrase suivante :
"Je m’allonge sur l’herbe humide et je me perd.",
je n’aurai pas dit je me perds, mais je me trouve !
Question d’optimisme !

oui, mois aussi le mot larve me déplaît.
C’est vrai je n’avais pas vu le "je me perd" de cette façon.
J’aimerais bien lire votre évasion aérienne.
Merci
florine

J’ai bien aimé vous(te) lire et en même temps, j’ai trouvé terrible que cette être préfère sa position de larve à celle de mère...
S’il n’y avait eu ce "Avec douleur, je m’extrais..." sans doute aurais-je pu davantage me lover dans votre texte cocon.
Sourire

bien vu...avec douleur et la phrase clé de l’histoire
râvie que tu es aimé.

Après lecture de deux de vos autres textes fort aimablement postés ici, j’avoue être moins séduit par celui-ci. Cette opposition femme-animal semble inaboutie et, hésitant entre les deux actions (céder à la tentation ou regagner la maison), on a finalement l’impression que l’auteur aussi se perd entre les deux et j’ai eu (très personnellement) difficulté à entrer en cette narration. Puis le style assez fracturé des deux premiers paragraphes m’a souvent fait hésiter dans la lecture.

Ne vous offusquez de cette opinion. Elle n’est réellement négative (car encore imprégnée de vos autres histoires) puis je préfère toujours être sincère. Y a-t-il d’autre solution o)

raté..je pensais avoir déjà un fan.

Non tu as raison, cette histoire à été écrite dans la douleur et cela se ressents.

Au fond, quand les histoires sont personnelles, le style change, plus maladroit peut-être ?