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Nuit d’amour.
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> Nuit d’amour. 20 septembre 2005, genou IP:74ea34fd28c39de5
Surtout ni retouche plus, ton texte est bien ainsi. On y trouve de la révolte, de la souffrance et le besoin de tendresse. Je trouve qu’ici, la mort n’a pas trop d’importance, juste le résultat d’un « mal être »
> Nuit d’amour. 22 septembre 2005, Delphine Lemaire IP:be31eda0ca9df877
C’est tout à fait ce que je voulais dire, en effet la mort est secondaire, ce qui est important est le cheminement qui mène vers le meurtre, cet état de malaise, cette impression d’insatisfaction permanente....
Merci Genou...
> Nuit d’amour. 11 septembre 2005, patrcik IP:ea67681a9a6e8242
La première fois je n’avais su trouver les mots justes, le commentaire caché sous ces mots, et voilà une autre version qui se plante en moi sans compromission.
Héroïne, oui c’est bien de cela qu’il s’agit, personnage peu banal mais qu’on se surprend à comprendre car c’est peut-être un peu de nous enfoui loin des regards. Aventure, aventure policière, roman, passion.. chacun de ces termes s’appliquerait ici avec majesté.
Je retiens surtout cette minutie des descriptions comme si tout était consigné pour servir l’enquête. On devine dès lors le fil que dévidera l’inspecteur. Minutie aussi des pensées qui assaillent cette femme culpabilisée et probablement coupable (car après tout chacun est libre d’imaginer ce qu’il veut bien voir ici).
Un magnifique tableau, sombre peut-être mais poignant comme le dit trop bien florine.
Un regret ? Oui que ce ne soit plus long ou sans suite. Puis ne me remercier point de ces lectures. Après tout c’est bien vous qui donnez du plaisir au lecteur surtout en mettant en scène cette femme peut-être redoutable mais ô combien séduisante.
> Nuit d’amour. 11 septembre 2005, Delphine Lemaire IP:c649f8bdc3fd11af
Si je comprends bien cette deuxième version semble vous convenir davantage.... ;o))
Je pense aussi qu’au fond de nous, il reste toujours une part de non-satisfait, une part d’inassouvi qui peut un jour remonter à la surface et nous fare faire les choses les plus sidérantes et les moins explicables. Peut-être sommes nous un peu cette femme ?
Je n’ai pas prévu de suite à cette histoire car il faut que le lecteur reste maître de la suite...coupable, non coupable...chacun avec sa propre histoire la jugera....
Merci de votre lecture toujours si attentive.... ;o)))
Je suis tout à fait d’accord avec vous sur le libre-arbitre du lecteur et cette fin vous honore dans une société qui n’a de but que de diluer la moindre chose pour la rendre indigeste. Nonobstant, on peut suivre le fil de cette femme sans jamais savoir si coupable elle est ou non, un peu comme nous tous (et vous le dites aussi fort bien) qui cachons dans nos tréfonds des pulsions jusqu’à présent jugulées.
Quant à savoir si cette version m’embaume de plus, resterait à revoir la première ou tout du moins le paragraphe qui vous aurait fait écueil
> Nuit d’amour. 10 septembre 2005, florine IP:5050f0fed7ae489c
ton texte est poignant(ah !ah !ah !), et donne envie d’une suite, un roman policier comme je les aime.
> Nuit d’amour. 11 septembre 2005, Delphine Lemaire IP:1967863ec23cf823
Oui "poignant" c’est bien le mot juste... ;o))
Une suite ? Je préfère laisser libre cours à l’imagination des lecteurs....
Merci de ta lecture Florine....