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Au nom de la prose
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Au nom de la prose 9 novembre 2005, florine IP:e0affed389f5c952
cette histoire de salades m’a ravie.
Compliquée de nature j’ai essayé de trouver la corrélation entre cette invasion verdâtre est un sentiment...
je n’ai pas trouvé, ou plutôt c’est mon imagination qui s’envole.
Alors je vais voir les limaces, pour trouver la solution.
Au nom de la prose 10 novembre 2005, patrcik IP:d0324d4bff825940
Merci, un peu de trop de n’importe quoi finit par tuer et ces salades sont peut-être le simple reflet de l’excès. Puis la démesure reste la pire chose qui puisse nous animer. Voilà un peu de terreau pour faire germer quelques idées mais avant tout je vous embrasse pour avoir apprécié cette verdure
Au nom de la prose 1er novembre 2005, genou IP:4f5bf4af06a124d5
Je vois que votre cerveau n’a pas été coupé - ni le côté droit, ni le côé gauche - et votre main gauche ressemble à votre main droite. Avez vous bu un peu de la réserve du Père Magloire* pour nous conter vos délires. Ce texte à un petit côté "Jack et le haricot magique" pour adulte. Je vais de ce pas voir arriver les limaces. Encore un texte et un bon rire.
*Père Magloire : Marque de Calvados, la seule que je connais.
Au nom de la prose 1er novembre 2005, patrcik IP:7d6f0a9f5d9cee90
Oui, je connais cette marque et ce doit être elle qui m’a inspiré mais je devais aussi être pas mal imbibé pour me rappeler exactement. Très gentil de reprendre cette saga où j’ai oublié de passer le troisième rapport mais je vais faire une petite marche-arrière et en rajouter un volet pour que tout soit bien fermé. Bises pour vous et sur tout.
Au nom de la prose 30 octobre 2005, Viviane Lamarlère IP:a95ecc4a846a7b81
je vous retrouve , fantasque et ... jardinier à vos heures...
mais dites moi, c’est fort dangereux la verdure, je pensais que les microorganismes auraient raison de nous, ce seront les légumes qui déraisonneront... J’aime cette image de la laitue au cœur de laquelle poussent les prières et les monuments qui les abritent, elle est emplie de terreur et de poésie...
Au nom de la prose 30 octobre 2005, patrcik IP:00c3b8f305adf124
Ma Mie, de rage j’ai eu beau écarter toutes les roses du jardin mais je ne vous retrouvais point et mon cœur se serrait de tristesse tant vos mots me manquaient. Vous revoilà et j’espère que l’hommage que vous me rendez nous redonnera l’appêtit de ces joutes épistolaires qui me portaient à l’extase. Donnez-moi vos mots, je suis en cruel besoin de Vous.