En réponse à..

c’est en lisant la bio de bernard, où il parle de ce texte que j’ai eu la curiosité...
je ne sais quoi dire, je suis littéralement bouleversé et profondément touché par tes mots...
j’en ai les larmes aux yeux et de longs frissons dans tout le corps.

"tant que je t’aime, tu vis..."
cela fait un certain temps maintenant, il n’efface rien mais j’espère que vous avez pu, les enfants et toi, trouver un peu de serénité..
(ce que je crois, certains de tes textes récents sont plus "légers", je sais aussi que rien ne la remplacera jamais, même si on avance, ce genre de blessures ne se referme jamais tout à fait..
je ne sais pas quoi dire, qui ne soit bateau ou inutile.. désolé.. je ne sais pas... sauf peut-être le regret de te faire penser à ces moments.. mais je ne pouvais, ni ne voulais, pas rester muet face à ce texte..

amicalement,
frédéric

Cher Frédéric,

Je te remercie pour la chaleur et la sensibilité de ton commentaire. Il y aura 11 ans en novembre prochain.
Personne n’a oublié, mais nous vivons. C’est cela que le temps permet ...
La vie comble les vides, sans rien effacer, sans reniement. Mais la vie gagne, et l’amour se perpétue et se transforme, ce qui est, je crois, une autre forme de fidélité.

Merci, et mes amitiés

J’ai la gorge nouée, et les yeux qui ruisselent avec un goût de sel

que d’émotion en te lisant, sublime hommage que tu rends à celle qui jadis fit battre ton cœur et y demeure à jamais

Sincère Amitié

Merci Eden ...

Amitiés ...

Il m’a fallu du temps pour pouvoir revenir sur cet ensemble de poèmes et y déposer un commentaire.

Cette souffrance qui jaillit de tes mots est si palpable que nul ne peut retenir l’émotion qui le submerge...

Perdre quelqu’un que l’on aime est un drame dont on ne se remet jamais...

Courage Jean-Marin...

Bien sûr, c’est indélébile, mais avec le temps, la poésie et les amis, on peut très bien vivre avec.

Il y a un cap à passer, celui du deuil ...

Je te remercie, Delphine, d’être revenue, amitiés