En réponse à..

Ah Barbara !!! quelle artiste extraordinaire, nous sommes bien petits...

Et oui les chagrins d’amour ont au moins cet avantage, c’est qu’ils nous inspirent de jolis mots, même si on s’en passerai bien, mais en tout cas une chose est sure, c’est que ces mots là ne trichent pas.

Merci pour ton passage Delph

Roland, ARRETE DE ME COMMENTER VU ????

"Dis, quand reviendras-tu ? Dis, au moins le sais-tu ? Que tout le temps qui passe ne se rattrape guère, Que tout le temps perdu, ne se rattrape plus..." (Barbara)...

L’absence est cruelle, elle est le froid au plein cœur de l’été, elle est le lit se changeant en poignard...

Un beau poème Roland qui dit toute la mélancolie et le chagrin....

Et voilà, ça c’est tout moi, en voulant te répondre je me suis auto-commenté...
Tant pis je vais pas me répéter, on pourrait croire que je commence à débloquer, quoi que je me demande des fois !!!!

Merci pour ta lecture Delph, je vais de ce pas m’envoyer des petits points pour ne pas avoir un com sans réponse

Vers agréables, vers à la mélancolie apaisante qui se terminent sur cette inversion d’une phrase si entendue qu’ici elle prend étrange tournure. Ainsi je l’ai immédiatement remise à l’endroit : "quand reviendras-tu" mais saisissant qu’il y aurait déséquilibre de rime. Puis je me suis dit que cela allait plus loin : la formulation choisie est d’un langage très familier, un cri spontané après les mots arrangés qui le précèdent comme si l’auteur s’y mettait à nu et de désespoir se tendait en vain vers la Belle.

Juste un léger bémol : le prologue me dérange. Après tout, l’écriture est forme d’expression et à tout crin de la voir (ou de la rendre) autobiographique, cela finit par empêcher toute discussion sur la formulation. Au contraire, savoir l’écrivain suspendu à une attente renforce cette impression qu’aura le lecteur de faire corps avec le texte.

Bonjour Pat, sur l’intro, j’ai déjà répondu, tu as mis l’accent sur le dernier vers, et je m’attarderai plutôt là-dessus.

En général l’inversion dans une phrase a pour but de lui donner un côté poètique voire désuet,, ici c’est le contraire, en fait en utilisant le language parlé, j’ai souhaité lui donner la place principale, en la détachant par le forme. Si je la traduit en termes clair, celà veut dire : La poésie c’est bien joli, mais ce qui compte c’est que tu me revienne... je suis heureux que tu aies mis l’accent là-dessus.
Roland