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L’homme au caban
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L’homme au caban 26 janvier 2006, genou IP:4965f230dea6b692
Vivre avec, pour seul compagnon : son ombre pas toujours facile. Il faut parfois savoir regarder ailleurs...
C’est fort dommage qu’il ne soit pas avec les textes du concours !
Bisous Genou
L’homme au caban 28 janvier 2006, Delphine Lemaire IP:06e1255017428bca
La folie est un puits insondable !
Jusqu’où peut mener le dédoublement de personnalité...
Merci de ta lecture...
Bisous
L’homme au caban 23 janvier 2006, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
En te lisant, m’est revenu en mémoire "Le horla" de G. de Maupassant...
Il est parfois difficile de vivre avec soi-même... tiens, demande donc à Patrcik !!!
Blague mise à part un texte magnifique, Delph.
Sourire
L’homme au caban 24 janvier 2006, Delphine Lemaire IP:abaf42a4fe481d8a
J’aime la folie sous toutes ses formes et pourtant elle est une de mes plus grandes peurs..
Certainement cela peut paraître paradoxal mais je pense qu’écrire sur ce sujet est une forme d’exorcisme....
Merci de ton commentaire Vani...
Sourire...
L’homme au caban 19 janvier 2006, patrcik IP:0bb05b1b71d40e44
Un très beau texte vraiment et qui donne à réfléchir, merci Delphine d’aiguiller ainsi ma curiosité. Votre style fait ici merveille et je dirai que vous avez pour cette histoire trempée votre plume dans un style qui a tout de l’excellence : chaque phrase s’offre de belle manière et la lecture en est quasi gourmandise.
Une simple remarque sur l’antépénultième paragraphe où le verbe devoir donne toujours "dû" avec un chapeau et "tout au long DU trajet" serait aussi bien. Voilà pour l’aspect littéraire (mais n’est-ce pas cela la finalité première ?)
Au fond, n’est-ce pas son hombre (ou son ombre) qui ainsi revient à lui pour le mettre en garde contre la fin de ses espérances ? La mort après tout sait s’annoncer.
Quant au concours que vous mentionnez, je n’en ai observé les mots imposés car vous avez su ici les gommer et les diluer pour parfumer l’intégralité.
L’homme au caban 19 janvier 2006, Delphine Lemaire IP:7d745f9969b2f049
Merci pour vos rectifications car je n’aime pas en effet laisser traîner des fautes derrière moi...
Vous avez tout à fait bien cerné cette histoire, dans la tradition mudejar, la mort s’annonçait dans le rêve de celui ou de celle qui allait perdre la vie...dans une vision plus moderne, elle pourrait devenir notre propre reflet.
Merci de votre commentaire qui me touche tout particulièrement car ce texte a pour moi une saveur particulière....