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Roissy
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Roissy 31 janvier 2006, Delphine Lemaire IP:3b06633e0c1d222d
Honnêtement, je l’ai sentie venir cette chute assassine et d’ailleurs ça m’inquiète horriblement. Commencerais-je à penser comme toi ???? Vite un médecin !!!
J’aime beaucoup le recul avec lequel ce texte est écrit, le ton un peu blasé, la description des lieux, de la vie, de l’entourage....
Bien vu Claude...
Roissy 26 octobre 2006, Claude Braize IP:b1dc088cb130f944
Oh la la ! J’avais oublié de répondre à ce commentaire !!!! Shame shame shame !
Et pourtant !!!
Je trouve intéressant ton appel à la médecine pour ne pas penser comme moi ! Y’a un bordel là dedans !!!!
Pour le reste, merci beaucoup ! Ton commentaire prouve à l’envi que j’ai probablement réussi l’ambiance générale et particulière de cette histoire.
Amicalement - Claude
Roissy 30 janvier 2006, Eric Bourdon IP:20f2a3aebec84dcd
Noir, haletant avec du sang, du fric, du sexe et cette tristesse qui transparaît au travers du cynisme. Le mec est pas complètement perdu, il a encore des instants de lucidité ... mais il est bien atteint tout de même.
Amitiés Eric
Roissy 26 octobre 2006, Claude Braize IP:b1dc088cb130f944
Mieux vaut tard que jamais pour une réponse à ce commentaire bien ancien déjà, millésimé dirait l’oenologue. Avec mes excuses.
Merci !
Ton commentaire démontre que j’ai un peu réussi ce texte puisque l’effet voulu semble marcher.
Amicalement - Claude
Roissy 28 janvier 2006, Violaine IP:ab7853e79eae3455
Zut voila que mon commentaire à ce texte est en réponse au commentaire précédent ! pardonnez moi de cette erreur !
Roissy 29 janvier 2006, Claude Braize IP:541bd7738ba99f2d
Heu ! Sur mon banc ??? Pas trop en ce moment ! Les doigts gelés c’est pas terrible pour écrire ! En ce moment, tu peux m’imaginer au comptoir de la micro-brasserie O’Neil rue des canettes, Paris 6e. Où chez Malongo, salle fumeur, rue St André des arts. On m’y laisse écrire sans problème contre un café (ou deux).
Tu dis que tu lis jusqu’au bout pour savoir où je veux en venir ... Mais nulle part ! Ou, plutôt, jusqu’à la fin du texte ! C’est tout mais c’est déjà pas mal.
Je te salue, amie, comme je salue les courageux qui lisent mes "longs" textes car je sais combien c’est compliqué de lire des textes de longueur (et peut être surtout les miens) sur écran.
A toi, spécialement, à eux, à vous, merci !
Amicalement - Claude