En réponse à..

"Lorsque l’enfant parait" écrivait Victor Hugo.

C’est vrai que lorsqu’un enfant vient au monde, tellement de choses changent, se bousculent et cet amour qui nait avec lui est si grand, si différent, si bouleversant.

Je n’arrive pas à comprendre ces parents qui sont capables de tuer leurs enfants.

Un très beau texte Florine.

Bravo.

remerciements un peu tardif, pardon.

je voulais exprimer le boulversement mental et physique découlant de la naissance.

quand à ce que peuvent subir les enfants, toutes ces tortures,je ne comprends pas et je suis, je l’avoue, assez radicale pour punir ce genre de crimes.

Bienvenue !!!
Oui, bienvenue dans le monde des parents !!! Violaine dit "un deux trois" et je la suis. Mais j’ajouterai 4. La même force, toujours ! Le même étonnement ! Un puissance inégalée ! La découverte de l’Amérique !

On pourra dire "Claude, tu déconnes, t’es un mec, ça peut pas être aussi fort !!!" Moins fort, peut-être mais violent quand même. Je me retrouve aussi dans ce que tu as écrit !

Superbe ! Merci !

Amicalement - Claude

justement je suis râvie que tu sois un homme...car en écrivant je m’étais posée deux questions :
ce que ressent un père ?
et si c’est pour chaque enfant la même chose ?
je n’aurais jamais la réponse (sensitivement s’entend).
j’aime ton expression "la découverte de l’amérique". C’est exactement cela...comme l’ouverture sur un autre monde,comme l’ouverture d’un monde que je possédais dont je ne connaissais pas l’existence.

Un, deux, trois .. c’est toujours aussi fort, l’amour se partage sans se diminuer, Florine ce texte est si fort qu’il fait frémir, l’amour pour son enfant est l’amour au sens propre et tu as su le dire.

merci d’avoir aimé.... au fond je ne l’aime pas ce texte, car je le trouvais pas original. et même si mon inspiration est certainne, j’avais peur de "rabâcher".
Tant mieux s’il fait frémir.