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Superbe texte Delphine. Que dire après les autres commentaires pas grand chose.

Je suis restée longtemps de ton texte et j’ai recherché mes livres sur Sarajevo. Je vais t’envoyer un mail. Bisous Genou

Les guerres sont des moments atroces et lorsqu’elles s’attaquent aux plus faibles et aux plus démunis, elles deviennent monstrueuses.

Merci de ta lecture, j’attendrai un peu pour ton mail, pour le moment profite bien de tes petites puces...

Bisous.

Comme l’écrit si justement Eric, c’est monstrueux. Mais le snipper isolé qui choisit posément sa cible, bloque sa respiration pour être plus précis et calmement presse la queue de détente, est-il plus ou moins coupable que ceux qui, bien au chaud dans dans leur bureau, ont programmé, planifié les opérations "bombing arround the clock" sur Dresde et Hambourg ? Ces 2 villes ont été broyées pendant 3 jours et 2 nuits de bombardement "non-stop" sous des milliers de bombes incendiaires. Le but était le même : faire "craquer" la population civile...

Merci Delphine pour ce texte si beau et si terrible.

Amitiés.JF

Je ne jette pas la pierre à ce sniper en particuliers, je la jette à tous ceux qui ôtent la vie au nom de la bêtise humaine. C’est certain que tuer à l’aveuglette est plus facile même si c’est tout aussi monstrueux.

Je m’interroge seulement sur ce qui peut faire appuyer sur la gâchette quand dans la ligne de mire se trouve un enfant ...

Merci de ta lecture Jean-François.

Amitiés.

Un très beau texte Delphine, comme toujours, avec cette chute qui glace le sang.
Je ne sais pas s’il existe des victimes « innocentes », mais l’homme est coupable de guerres et agressions diverses, sans aucun doute...
Sourire quand même...

Je ne sais pas non plus si on peut parler de victimes innocentes mais je n’arriverai jamais à comprendre ce besoin de destruction qu’éprouve l’homme. Tuer au nom d’une idéologie, tuer au nom d’une religion, tuer pour le seul plaisir de tuer ... Ne sommes-nous pas capables de nous respecter un peu les uns les autres ?

Charles Péguy a écrit un poème intitulé La guerre où il dit (en résumé) qu’il ne faut qu’une seconde pour détruire une vie alors qu’il a fallu tant d’années pour la façonner...

Merci de ta lecture Vanina...