En réponse à..

Lorsque nous n’avons plus rien à perdre, nous devenons clandestin. L’espoir et le rêve parfois font réagir. Très beau sujet Jacco.

La question est de savoir pourquoi il faut attendre de n’avoir plus rien à perdre pour devenir clandestin. Le vrai courage
est de dire "non". et de prendre les chemins de traverse. J’en ai rencontré un
à la télé ce matin, c’est le D^r EMMANUELLI, celui qui a créé le SAMU
Social !
Amitiés.

j’ai souvent parlé de l’immigration avec des amis africains. c’est un sujet terrible qui repose sur tant d’incompréhension mutuelle qu’il serait illusoire de vouloir le traiter en un com. Mais on ne dois pas oublier qu’un jour ou l’autre il faudra trouver une solution. Ton poème nous le rappelle. Amitiés Eric

Certes, Eric, mais mon propos ne se limitait pas là ! Je vois que j’ai encore des
progrès à faire quant à la clarté de mes
écrits !!! Jette un oeil sur ma réponse à Delphine.
Puisque tu connais bien le sujet, pourquoi ne pas en parler sur le forum !
Voilà un sujet intéressant !!!
Merci de ta lecture.

Ton poème me fait penser (par le thème) à un de mes vieux textes Le rêve de Luisa. D’ailleurs, ça me donne envie de le mettre sur le site...

Les clandestins sont en effet très souvent exploités, haïs... et pourtant, ils osnt comme nous, ils ont dix doigts, deux yeux et un cœur...

Merci Jacco.

Un clandestin est quelqu’un qui recherche
le Bonheur mais n’a pas les moyens d’y accéder par les moyens édictés par la Société. Alors, il ose faire différemment !!
Il prend le risque de monter dans un train qui n’est pas à priori le sien.
Souvent je suis clandestin. Je suis dans le train de la vie, ne vais pas où l’on voudrait que j’aille, et tant pis pour moi !