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Je n’ai commencé à apprécier le violon que depuis très peu de temps, enfin exception faite des violons tziganes que j’aime depuis toujours. Mais, parmi les violonistes que j’admire figure en tête de liste un certain Paganini, peut-être pour son petit côté "chien perdu sans collier", mais surtout sa virtuosité.

Merci de ce bel hommage Jacques.

J’ai découvert cette histoire en allant voir
une expo sur les Iles de Lérins ! destin tragique... J’aurai préféré qu’il le laissent
reposer au milieu des dauphins !
Amitiés

Bien que Paganini soit pas ma "tasse de thé", je trouve ton poème fort beau. Un peu comme Vanina, je le trouve énigmatique. Amicalement Genou

Vie en tout cas étonnante, et l’occasion de par ler de la musique de la mer
Merci de ta lecture

Peut-être eût-il mieux valu qu’il repose sur cet îlot ? A artiste hors du commun sépulture hors du commun !
J’aime beaucoup ton texte, Jacques.
Amitiés. J-F

Tu as raison, Jea François, mais ne risquant plus rien, les Génois ont voulu rapatrier les ossement... Reconnaissance
tardive... comme souvent ! J’aurai préféré moi aussi qu’il reste reposer avec les dauphins.
Amitiés