En réponse à..

Ils sont nombreux comme Miguel a s’être tu pendant de si nombreuses années par pudeur ou peut-être aussi par fierté.

L’Espagne, brisée par ses trois années de guerre civile, par ses 36 ans de dictature était pour ces éxilés comme un espoir lointain, rêve inaccessible et impossible avenir.

"No pasarán" était le leitmotiv de Madrid, celui qui coûtera la vie à plus d’un million d’hommes. J’aime beaucoup la trilogie écrite par José María Gironella sur cette période, mais sans doute la connaissez-vous.

Un thème qui me touche tout particulièrement.

Merci Jean-Pierre, soyez le bienvenu !

Amateurs d’histoire ou autres, nous avons tous un peu, je crois, nos périodes "fétiches"... Ainsi moi par exemple, peut être pour honorer la mémoire de mon père, prisonnier de 40, ai-je beaucoup lu sur le conflit majeur du siècle écoulé... Et puis un jour, je suis tombé par hasard sur la Guerre d’Espagne de Hugh Grant, référence en la matière... J’ai découvert un conflit terrible, une plaie béante que je connaissais bien mal.De là à imaginer un récit avec la souffrance des exilés en toile de fond, il n’y avait qu’un pas que j’ai franchi allègrement... Amicalement.

Bienvenue, oui !

Un voyage initiatique comme beaucoup de fils aimeraient pouvoir en faire ... Pudeur et sensibilité, Eric, l’a souligné, et une leçon d’histoire en outre.

Merci Jean-Pierre !

Merci pour toutes ces remarques qui me vont droit au cœur.

superbe d’émotion et de pudeur ... et (cerise sur le gâteau)très bien écrit. Bienvenue à la "plume" amitiés Eric

Que d’éloges ! Merci beaucoup en tout cas !...