En réponse à..

Pour un fils en deuil,
Le père reste une énigme.
L’automne et ses chutes de feuilles,
Ravive des sentiments de profonde estime.

J’ai beaucoup apprécié ce texte au ton juste et chaleureux,saupoudré de poésie.

Amitié,Claude.

Il est vrai que chez moi comme chez d’autres, l’image du père disparu est omniprésente et qu’elle apparaît en filigrane dans nombre de mes récits.
Merci pour ce quatrain en forme de réponse. Amitiés. JeanPierre.

J’ai commencé à lire ce texte , un peu fatiguée et un peu "paresseuse" en me disant qu’il y avait cinq pages !
La première page lue, je n’ai pu résister à l’envie de continuer, un peu fascinée, accrochée à l’écriture et à son contenu. Cela m’a remis en mémoire les récits de mon grand-père qui lui a connu deux guerres, récits que j’écoutais pendant des heures tant ils étaient riches d’émotions, de souffrance et d’enseignements autres que ceux trouvés, impersonnels, dans des livres scolaires ...

Merci, Jean-Pierre, pour ce texte qui m’a beaucoup touché et qui est superbement écrit.
Amitié.
Marie.

Ainsi que le chante si bien Jean Ferrat : "Nul ne guérit de son enfance..."
L’écriture est là, fort heureusement, pour atténuer la blessure à défaut de la guérir.
Bien amicalement. Jean Pierre.