En réponse à..

merci pour ta réponse elle éclaircit quelques petites choses qui me semblaient embrouillées comme je te l’avait fait remarquer... donc je radote : merci.

après avoir compris ton point de vue, plus de reproches (rires !)

A bientôt sur d’autres "mots"...

Bises et amitié.
SPTIM

Bonjour,

Je suis heureuse que ma réponse ait éclairé quelques points obscurs, et j’essairais à l’avenir d’être un peu plus compréhensible dans mes écrits.

A bientôt,

Lyssia.

Bonjour chère lyssia ...

il me semble que ton texte explique quoique de façon un peu brouillée "le concept du chien ne mord pas" ...
3 textes pour parler de la valeur des mots... je trouve ce sujet interéssant, ta façon de l’aborder aussi ; comme une démonstration...

cependant, je trouve dommage que tu ais choisi d’utiliser comme exemple mots d’amour et mots de haine, bien que ça ait tout son interet, cette "contradiction" embrouille un peu ta demonstrastion...

J’ai aussi noté une petite incohérence ; "les mots sont objectifs" : c’est faux, les mots existe dans une langue, cette langue s’integre dans une culture donnée... crois-tu que tout les mots aient exatement la même signification est la même valeur dans tous les pays francophones(par exemble) objectivement parlant ; même en france, en fonction de la région ou même et surtout de sa classe sociale les mots ont des sens différents...

Les mots ne sont JAMAIS objectifs...
D’où l’incohérence, tu dis toi même que les mots ne sont que des mots... juste un système de communication complexe...

Soit dit en passant tu as raison, lisons les lignes les entrelignes et tentons de discerner tous les sens sousentendus, les mensonges sincères et les vérités menties... oui tentons, ou non.

Amitiés.
Bises

SPTIM

Bonjour,

Merci pour ce commentaire très intéressant. Merci pour cette critique et cet avis personnel qui me permettra je l’espère d’avancer ou de m’améliorer.
Pour ce qui est en revanche de l’incohérence, je soutiens ma thèse selon laquelle les mots tels qu’ils existent (et non tels qu’ils sont utilisés) sont objectif. Ils désignent chacun une idée bien particulière, et même si je sais qu’ils ne sont pas les mêmes d’une langue ou d’une culture à une autre, leur existence de base est objective. Ce qui les rend subjectifs est bien le regard d’une personne, l’utilisation et le sens qu’elle leur donne. Je parle de leur objectivité à leur état de "nature", où le sens d’une personne en est exclu et où il n’y a que son essence même. Les mots sans le sens et sans le regard des personnes sont objectifs, mais dès lors qu’elles donnent quelque chose pour modifier leur nature, pour s’en servir, alors ils deviennent subjectifs.
Quand je dis aussi que ce ne sont que des mots, c’est un autre sujet : je ne parle plus de leur nature ou de leurs modifications, je ne parle plus de leur objectivité ou de leur subjectivité, mais de ce à quoi ils renvoient, de leur fonction en quelque sorte. Une réflexion sur ce qu’ils sont réellement, mais sans traiter la question de l’objectivité ou pas.
Je ne sais pas si je me fais comprendre...

Merci et peut être à bientôt,

Lyssia.

Lu tes trois textes, Lyssia, et j’avoue être un peu perplexe !
Bien sur qu’on peut manipuler les mots et leur faire dire ce que l’on veut, bien sur qu’il ne faut pas toujours croire ce que l’on lit, mais ceci est valable dans un tas d’autres domaines y compris l’image ou les apparences ... là aussi la "tromperie" existe.
Les mots restent des mots, ils sont les mêmes pour tout le monde. Je pense que leur poids et leur "valeur" ne dependent au fond que de la personne qui les écrits : ils seront en quelque sorte son reflet, pour peu qu’elle veuille y mettre quelque sincérité. Dans le cas contraire, je n’y vois pour ma part aucun intèrêt )
Face à un même "sujet" (ici tu as pris celui des enfants), l’on peut trés bien éprouver deux émotions ou sentiments qui semblent contradictoires, mais qui en fait ne le sont pas ... suivant les circonstances ou notre état d’esprit du moment présent : amour et haine, ici en l’occurence, peuvent "cohabiter" et être retranscrits parce qu’ils font partie des émotions ressenties un jour ou l’autre et qui ressortent dans un contexte particulier.

Enfin, je ne sais pas si j’ai été très claire et ma réponse est peut-être hors sujet ...)

Amicalement.
Marie.

Bonjour,

Tu n’es pas du tout hors sujet, bien au contraire
Tu as donné dans ton commentaire ton avis comme j’ai donné le mien dans mes textes. Ce qui m’intéresse dans la manipulation des mots n’est pas tant le sens que la personne donne à ses phrases, mais la façon de s’approprier ces signes pour donner autre chose que ce qu’elle pense, que le sens vienne d’elle mais pas entièrement et ne sorte pas de son cœur ou de son esprit tout fait. La "tromperie" existe ou peut exister partout où la personne apporte quelque chose, parce qu’un regard est toujours subjectif. Pour ce qui est des apparences, je pense que c’est plus compliqué : pour les personnes, selon moi il y a une part de mensonge et une part de vérité. Enfin je n’ai pas encore creusé de ce côté là...
Mes deux textes Mots de Haine et Mots d’Amour ne doivent pas être vus comme un étalage de deux sentiments complémentaires qui se révèleraient en fonction d’un moment particulier mais une description de deux façons de penser bien distinctes quel que soit le contexte : l’une haïssant les enfants, l’autre les aimant, avec l’exemple d’une enfant en particulier. Deux manières de penser que j’ai tenté de retranscrire. Quoique les textes se complètent dans le sens où leur message principal n’est pas de montrer tel ou tel sentiment mais plutôt d’aboutir sur un troisième, celui-ci.

Merci pour ton commentaire,

Lyssia.