En réponse à..

Il me semble que tu as pris plaisir à écrire ce texte, n’est-ce pas ?
Des éléments déchaînés avec lesquels tu joues avec plaisir pour notre plaisir.
Bisous Genou

C’est vrai, je le confesse, je me suis bien amusée en écrivant ce texte : ambiance nocturne et éléments déchaînés... tout ce que j’aime !

Merci de ton commentaire Genou.

Bisous.

je me suis trompé
j’ai répondu sur "animale" et non sur "nuit"
pas grave tant que tu as le complément d’info
maudite distraction !

L’erreur est humaine et tu es pardonné, l’essentiel étant que le message ait été reçu.

Amitiés.

La nuit est si noire que la lune se fait complice en voilant son regard... en détournant son œil inique...
Belle manière de décrire ses démons, on sent la tension monter, on la partage... je fuis également dans le monde sucré là où la lune est rousse et bienveillante, gardienne de mes rêves...

Moi j’aime l’orage, il m’électrise, j’aime nettement moins les bruits de la maison qui craque dans le silence...

A quand remontent ma conscience d’ELLE ? A mon enfance sans doute, aux premières impressions que j’eu de l’obscurité.. Le soir, montant me coucher, seul dans ce long couloir, ELLE était là tout autour de moi et il me fallait rassembler tout mon courage pour pénétrer le ventre du dragon... Soudain un éclair... le couloir s’éclaire et je la vois ELLE là, sur le mur, à côté de moi, avec ses traits déformés, ses yeux hallucinés.. ! Mouvement de protection réflexe, je balance violemment le bras et j’ai la surprise de voir qu’ELLE vole en éclat !
Ma mère arrive en courant et, s’agenouillant, dit :
"Quel dommage un si joli miroir..."

hihi
bises
frédéric

La tempête comme l’orage ont tendance à m’électriser moi aussi pendant la journée.
Par contre, j’ai toujours redouté les bruits de la maison la nuit, vieilles reminiscences de mon enfance...

Il suffit dans ce cas-là de s’isoler dans un monde que l’on s’invente pour se rassurer.

Si je comprends bien tu t’es battu contre un miroir, moi c’était un placard... lol

Merci de ta lecture et de ton commentaire Frédéric.

Bises.