En réponse à..

Bonsoir Arto, Je retrouve toujours cette tristesse et ces mots si durs. Maudits mots douloureux.
J’ai cherché, Je n’ai trouvé que, J’ai défié : Je n’ai plus que. Un martèlement de mots qui fait mal.
Un petit regard vers la plume pour un peu de paix intérieur.
Amicalement Genou

J’ose seulement espérer que ce poème ne reflète qu’un instant de tristesse, et que vous verrez l’espoir se lever sur demain.
Nous avons tous des moments de renoncement comme celui-là, je souhaite qu’il ne dure pas trop longtemps pour vous.
Clo

PS
Cher Arto,
Je n’arrête pas de penser à ce texte...
Que faut-il dire à quelqu’un qui souffre et qui pense qu’il n’y a nulle part où aller ? qui ne semble plus voir que les difficultés ?
Et puis admettons que je donne mon avis, qui dit qu’il ne pensera pas que je cherche à le consoler ou à nier sa souffrance ou qu’il s’agit de compassion, de pitié... ?

Difficile... que faut-il dire ? On peut proposer une main tendue, partir de l’analyse des éléments passés... mais dans le seul but d’avancer, pas de se complaire dans le désenchantement. Pas que je me fous de sa cicatrice, des cicatrices des gens, QUE NON, mais je ne m’arrête pas à ces traces là. Moi je ne vois que l’espoir qui peut naître du rêve qui gît là, sous ce vieux crâne et qui ne demande qu’à prendre vie...

Mais bon comme je vous le disais, je vais partir à la découverte de votre univers, dans ce jardin perdu, je suis persuadé y trouver d’autres belles facettes..
Amicalement,
Papabul