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S’il suffisait...
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S’il suffisait... 26 juin 2007, genou IP:47e56e30864d73b4
Et bien moi, je ne pense pas que de dire : « viens, je te pardonne » peut effacer le gris de notre cœur. Il y restera toujours une ombre. Quand l’amour se meurt, il faut oublier et repartir vers une autre lumière. Avec le temps, c’est certainement possible.
Très joli poème.
Bisous Genou
S’il suffisait... 1er juillet 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Moi non plus Genou, je ne crois pas que la douleur puisse s’effacer comme ça, comme par magie.
Le temps efface bien des choses mais malheureusement pas les sentiments.
Merci de ta lecture et de ton commentaire Genou.
Bisous.
S’il suffisait... 25 juin 2007, Jacques Collie IP:b6d159d4672cca16
Et s’il ne suffisait de dire pour que l’Amour fût !
Et si le faire était le remède...pour savoir redire.
Jacques.
S’il suffisait... 1er juillet 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Peut-être cela suffit-il à certains mais ne suffira jamais aux autres. L’amour est un sentiment si fort qu’avec lui tout est toujours si différent.
Merci de ton commentaire Jacques.
S’il suffisait... 17 juin 2007, eden blu IP:0ae7237cd0360136
Il est facile de pardonner, mais pas simple d’effacer le gris pour ramener le bleu, si les larmes ne coulent plus des yeux, elles noient l’intérieur et ce n’est pas mieux...Pas évident de se reconstruire ensuite, les plaies sont ouvertes jetées aux quatre vents...
En tout cas très beau texte qui remue le cœur et touche l’âme
bien amicalement
Eden
S’il suffisait... 25 juin 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
C’est vrai qu’il est facile de pardonner mais il reste malgré tout quelques traces indélébiles dans le cœur. Et les cicatrices sont d’autant plus profondes si celui ou celle qui nous a blessé comptait beaucoup pour nous.
Merci de ce très gentil commentaire Eden.
Amitiés.