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Imagine... 5 juin 2007, Claudie Becques IP:8ee37999a15f86c0
Et non notre monde n’est pas parfait, et heureusement que le rêve nous entraîne de temps en temps dans un utopique délire pour accepter nos pathétiques terriens, dont nous faisons partie ! Essayons de remplir notre part de responsabilité et vivons du mieux que l’on peut dans ce monde de fous, auquel on tient pourtant tellement. Amicalement. Clo
Imagine... 2 décembre 2007, Lyrael IP:5398f313436b8749
(j’ai pris la grande résolution de répondre à tous mes commentaires !)
Auquel on tient tellement, il est parfaitement vrai...
Merci !
Imagine... 5 juin 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Bien sûr le monde n’est pas celui dans lequel nous aimerions vivre mais nous n’en n’avons pas de rechange, alors que faire ? L’anéantir ? L’accepter tel qu’il est ? C’est certainement la plus sage décision en ce disant que le peu que nous faisons c’est déjà ça !
Et puis quand c’est trop dur, il nous reste le rêve, le rêve évasion, le rêve pansement... celui sans lequel on ne serait rien....
Allez Lyrael, ne fais pas taire tes rêves, donne-toi toutes les chances que la vie t’offre !
Imagine... 7 juin 2007, Lyrael IP:6130b1abcca90c2f
Merci pour ce commentaire... =)
Néanmoins j’aimerais dire que pour ce monde, oui, il faut l’accepter tel qu’il est, mais quand on regarde les gens autour de soi le détruire, on n’a plus la même détermination, on aimerait leur dire de cesser ce massacre et pourtant quelque chose nous retient. La peur qu’ils restent indifférents, peut-être... Alors on rêve... Or dans ce texte je dis qu’il ne faut pas trop rêver, car justement si l’on rêve trop, ou si on imagine un monde meilleur, on ne trouve pas spécialement le chaînon manquant, cette petite manœuvre qui ferait devenir de ce monde notre rêve ! Et aussi, lorsqu’on se réveille, c’est un peu dur...
Imagine... 2 juin 2007, papabul IP:9729a2a0dc16d899
"les rêves définissent la personne", mais aussi les choix que l’on fait, non ?
Un jour j’ai lu ceci (j’adore) :
"Un petit garçon et une petite fille. Il veut épater la petite fille, il lui prétend que son papa sait voler. Il demande à la petite fille si cela l’intéresserait de voir sous la chemise de son papa, l’endroit d’où partent les ailes. "Oui, oui", répond toute excitée la petite fille oui, oui.
Et le papa complice retire sa chemise, et la petite fille dit : "dingue, ces ailes lustrées", elle les détaille.. le petit garçon est estomaqué... "moi aussi je commence à les voir..."
Puisqu’il suffit d’y croire...
Bien sûr, Lyrael, tout ceci est fort simpliste et caricatural, mais si on commence par dire "c’est impossible", "on ne peut pas", "ça ne se fait pas", "c’est trop difficile", "il n’y a pas d’espoir dans toute cette gadoue", "pas de limites dans la connerie des Hommes",..., alors on ne peut plus imaginer qu’il existe aussi des papas qui ont des ailes ou des amis qui sont des papillons de nuit insomniaques...(et qui ont des plumes dans l’encrier..).
Bien sûr, Lyrael, bien sûr... Tout ceci n’est qu’illusion, mais d’un autre côté, n’est ce pas en regardant les choses autrement, en se recentrant sur nos espoirs, en se souvenant de nos rêves d’enfant, en s’en faisant un objectif (ou en partie) que l’on peut vraiment avancer... Avec ou sans ailes..? Celui qui se dit "j’ai pas d’ailes" (ou de pieds, plus réaliste), ne bougera jamais puisqu’il n’espère plus rien...
Quand une histoire est impossible, ou perçue comme inutile, sans espoir.. ils (elles) pensent que cela ne vaut pas la peine.. alors qu’au bout du chemin qui sait ce qu’il peut y avoir ?
Et je sais de quoi je parle, Lyrael, c’est pour cela que mon plus beau chagrin d’amour est partie... Puisque notre histoire était pour elle sans issue.. La route est longue, mais elle n’a vu que le carrefour..!
C’est pour cela que je te respecte toi, puisqu’au delà des cris que tu lances, les pieds crottés, on sent que tu veux encore y croire, malgré le monde, malgré la souffrance (la tienne et la sienne) ou tout ce qui t’irrite en lui..
Je sais, je parle trop...
Salut,
Papabul
Imagine... 7 juin 2007, Lyrael IP:6130b1abcca90c2f
Tu parles trop, mais tu parles bien ! N’est-ce pas le contenu de tes propos qui est à regarder plus que la longueur du texte à lire ? =D
Dans ce texte je veux dire qu’à trop rêver l’on est trop brusqué lors de notre retour à la réalité, la vraie, la dure (enfin ça dépend des situations, mais pour l’instant moi j’vois plutôt le monde d’un oeil assez inquiet...)
Quelque part c’est vrai, tu as un différent point de vue, c’est ce qui fait la richesse de ce site d’ailleurs ! Hum, je m’échappe. ^^
Je sais qu’il ne faut pas commencer par se dire que c’est impossible, ce que je remarque chez la plupart des gens de ma classe, d’ailleurs... Or parfois c’est dur, la situation est si désespérée ! Et justement c’est là qu’on se met à rêver... Mais moi, quand je rêve, je ne rêve pas de l’épreuve que je suis en train d’accomplir, je ne rêve pas que je suis légère lorsque j’accomplis cette épreuve, je ne la vois pas sous un oeil différent... Moi, je vois l’après, quand je rêve...
Amitiés =-)
Lyrael