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Bancs publics 24 juillet 2007, papabul IP:ac1e0296070ef171
Pardonnes moi Suzie, t’avais raison, l’étais moustachu et avait un carnet de note en main, des mains de guitaristes, musclées et fines. il avait un complice, d’après ce que j’ai compris le fiancé de Nancy.
hein ? non je ne connais pas Nancy, j’ai juste surpris un bout de conversation,
oh arrêtes de râler, et viens il commence à pleuvoir, viens sous le parapluie.
Comment il est encore là !? va pas nous bouffer l’paradis c’t auvergat d’mes deux !
hihi, très rigolo la genèse d’une chanson, dire que le succès tiens à un baiser innocent échangé à la sauvette sur un banc public !
Fred
Bancs publics 24 juillet 2007, Patrick G. Delay IP:2ff6a4c2ab7e8d6f
Superbe petit commentaire. Merci Fred.
J’ai pas de mérite, c’est Georges qui m’a raconté l’histoire dans un trou du temps
Bancs publics 24 juillet 2007, eden blu IP:42020b088cde4812
pas mal du tout cette idée d’épier les gens pour écrire une chanson, ce sentiment de malaise que la jeune femme ressent, tu plantes le décor et c’est magique, on vit la scène
bravo
bises amicales
Eden
Bancs publics 24 juillet 2007, Patrick G. Delay IP:2ff6a4c2ab7e8d6f
Un commentaire qui me va droit au cœur.
Ca donne envie d’écrire et d’écrire...
Bancs publics 24 juillet 2007, christine IP:7a250469308b31b1
hihihi
Brassens vient de ressusciter !
je ne m’attendais pas à ça, lol !
charmant.
Christine
Bancs publics 24 juillet 2007, Patrick G. Delay IP:052281c4535a8246
En vérité, les poètes ne meurent pas. Ils continuent à vivre dans les replis de nos esprits.
Merci Christine