En réponse à..

Ton texte a laissé échapper une larme de mon cœur...
Je suis surement trop sensible... je suis comme toi quand je dis que j’aime quelqu’un (amour ou amitié) j’en suis profondément et intimement convaincue même si je ne l’ai jamais vu... et un seul mot peut me briser !
Sublime lettre...
Bisous du Sud à mon ami Fred
Babou*

merci amie Babou et désolé du retard...
beaucoup de courage et de bonheur !
frédéric

Je me sens moins seule tout à coup après la lecture de ton texte.
Je ne rentrerais pas dans les détails mais je garde au fond du cœur une douleur qui ne s’est jamais atténuée malgré les années ... outch ! plus que ça encore, et tout le bonheur qu’il m’ait été donné de vivre malgré tout, à un point que je me demande parfois si je suis tout à fait normale.
J’ai cette faiblesse supplémentaire par rapport à toi Frédéric : je ne me fiche pas des autres, de ce qu’ils pensent et ce qu’ils disent, l’empreinte de mon éducation sans doute....
Enfin bref, si j’écris je t’aime facilement, j’avoue que ces trois petits mots là ne franchissent que très rarement mes lèvres (sauf pour mes enfants) comme si les prononcer risquait de faire sourire et me faire souffrir.

merci, chère complice pour ces mots d’amitié ; je fuis le regard de l’autre qui tue, et puis comme je le pense, ils se trompent sur nous alors qu’importe leur avis en définitive ?
Je fais par contre très attention aux réactions des gens que j’aime, là plus question de rigoler, je sais qu’ils disent -eux- ce qu’ils pensent sincèrement.
et tu fais partie de ces gens que je respecte profondément !
bien amicalement
frédéric

Paradoxalement à ton sous-titre, Frédéric, on sent une note de desespoir sur la fin.
Une fatigue liée aux évènements sans doute, le vide de ta tête n’étant qu’un "trop plein" qui se déverse brutalement.
C’est l’effet que cela me fait en tout cas. C’est très fort, ça touche "forcément" !
Amitié.
Christine

Salut, Christine,
non, je t’assure, le sous titre est bien choisi.. Aussi difficile soit-il, j’aime le chemin, chaque difficulté permet de "grandir", il faut qu’il soit compliqué, c’est ce qui fait sa richesse.

Maintenant pour revenir à ce texte, il va plus loin que la tristesse d’un amour qui a dérapé, et en même temps, il n’a pas dérapé, le couple a dérapé, l’amitié a été rattrapée de justesse.