En réponse à..

Bonsoir Frédéric, ce n’est pas papabul qui écrit mais "papapoule".
La première séparation, nous commençons à les perdre un peu. Et chaque année un peu plus,à notre grande tristesse.
Amicalement Genou

on n’élève ses enfants pour les rendre indépendant et les voir partir, mais ça reste difficile lorsqu’on pense aux années passées, aux calins, à tout cet amour.. bien sur l’amour reste, mais le plaisir d’avoir un bébé dans les bras, ça me manque...
amicalement
papabule

Voilà qui me rassure : les papas ne sont pas plus endurcis que les mamans !

J’ai écrit la même chose, "jadis" ! : http://www.la-plume-et-lencrier.com/article.php3?id_article=1088

Pas un pour relever l’autre !!!!(éclat de rire)

Amicalement. Clo

Effectivement un autre style, un très beau texte ton "la rentrée des classes"..

j’ai eu une impression bizarre en conduisant 18 ans après ma fille à l’université... là c’est moi qui pleurais à chaudes larmes... comment ? déjà tout ce temps passé ? et moi à force de voyager je ne m’en étais même pas rendu compte que mon bébé était devenu une jeune fille....!
amicalement
frédéric

C’est amusant Frédéric, je disais justement il y a quelques jours à Freya que la rentrée des classes est souvent bien pire pour les parents que pour les enfants.
Je me souviens de celle de mes garçons, j’essayais de faire comme si ça ne me touchait pas mais j’avais la gorge serrée et j’ai même du essuyer quelques larmes discrètement surtout quand je les ai vus s’éloigner en courant, heureux comme des papes d’aller jouer avec leurs copains dans la cour de récréation m’abandonnant lâchement devant la grille ))

Merci pour ce souvenir partagé.

Bises.

Je ne me souviens pas de ma première rentrée, mais celles de mes enfant, après 18 ans + quelques uns ... j’avais l’impression de les jeter dans un monde auquel ils n’étaient pas préparés..
merci à toi, Delphine, pour l’accueil que tu réserves à nos enfants abandonnés... hihi