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A vous ... En marge des jours... A Claude B. Dernière lettre
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> A vous ... En marge des jours... A Claude B. Dernière lettre 6 août 2005, Bernard Lancourt IP:891d49c60f0cdd79
Texte d’une puissance inouie. Tu prouves encore une fois que la force de tes sentiments, ne fait pas trembler ta main d’♪0crivain. Comme tu écris bien ! Bravo ! Merci pour ce texte que j’ai lu avec passion.
> A vous ... En marge des jours... A Claude B. Dernière lettre 7 août 2005, Viviane IP:20b94ef27caea24f
Mille merci Bernard, de ce compliment qui ajoute de la sève à la plume.
Heureuse de te revoir parmi nous, j’espère lire bien vite ta plume flamboyante.
Amicalement.
> A vous ... En marge des jours... A Claude B. Dernière lettre 3 juin 2005, Cléo IP:ac169ee6d6276459
Dernière lettre mais pas dernière reflexion. En tes mots qui se déposent, en ces similitudes étranges, en ces différences qui nous lie, je lis ici, l’histoire, la tienne, une parmi tant et je reste fille-femme, fille-mère, être humain, ouverte à mes interrogations, surprise par la semblance de nos pas, de nos non... dis, écrits, ici, ailleurs.
Ce texte est puissant, encore une fois, il est riche de tant de réponses qui n’en sont pas mais, surtout, ils témoignent de l’humain, imparfait, malade, et tant attendu à une place, qu’il ne peut occuper, celle de la mère.
"Fillette perdue dans corps de femme", miroir sans tain, sans frein, qui passe et qui écrase, sans vraiment être réellement là.
Terrible et salvateur ton texte Viviane et tes mots toujours si justement posés, comme cordes vocales sur papier de soi.
Merci encore.
Cléo
> A vous ... En marge des jours... A Claude B. Dernière lettre 3 juin 2005, Viviane IP:68191c17a1bf71d7
Oui, Cléo, nous devons porter en nous un fond identique de non dits et de souffrance...
Ma mère est aujourd’hui une vieille dame digne qui supporte avec beaucoup de courage la déchéance du corps, les douleurs liées à une mauvaise chute il y a quelques jours la solitude et l’abandon dans lequel la laissent trois de ses cinq enfants.
Sans doute, si je n’avais eu la chance de l’écriture, qui m’a aidée à dépasser - un peu - l’histoire au lieu de m’en venger, l’aurais-je moi aussi laissée seule. Un être humain quoiqu’il ait fait, quoiqu’il ait été, ne mérite pas qu’on l’abandonne comme une bête. Je suis heureuse que tu aies partagé ce bout de chemin avec Claude et avec ces textes. Je t’embrasse très fort.
> A vous ... En marge des jours... A Claude B. Dernière lettre 1er juin 2005, Dominique IP:bedf0786f4587dbb
ça y est j’ai lu et j’en suis heureux. Je suis aussi heureux que vos relations aient tourné à l’affection. Je crois que c’est plein de bon sens, et c’est important pour ne pas avoir à dire"si j’avais su".
La vie n’est pas un long fleuve tranquille, et comme tu le disais récemment, il faut construire jour aprés jour. Pas toujours facile.
Ce texte est apaisant. Bisous.
> A vous ... En marge des jours... A Claude B. Dernière lettre 2 juin 2005, Viviane IP:532a80b6feab51f1
Je suis vraiment contente que tu aies lu et aies reçu. Oui, une amitié comme celle là est un cadeau, il ne faut pas l’abîmer avec des sentiments qui peuvent conduire à la facherie.
Bisous (tu te souviens de lui, quand il était venu à Langon, nous faire cette conférence sur la Mort, le Médecin et la Philosophie ? Puissance de pensée inimaginable...)
Oui je me souviens trés bien, et d’ailleurs merci de m’y avoir invité. bisous.
sourire du matin !