En réponse à..

Il m’est très difficile de commenter ce texte certainement parce qu’une partie de moi pense que tu as raison mais que l’autre partie n’a pas oublié le bruit des corps de ceux qui ont préféré se laisser tomber dans le vide plutôt que de mourir brûlés
ou ces innocents qui ont appelé une dernière fois ceux qu’ils aimaient pour leur dire adieu avant de mourir au nom d’une cause qui n’était pas la leur.

Je ne pense pas qu’un Dieu quel qu’il soit puisse approuver la haine et la guerre. Par contre, ceux qui prennent Dieu comme prétexte pour massacrer des innocents, quelles que soient leur religion ou leur confession, ne méritent pas le nom d’homme, ou alors dans ce qu’il a de plus absurde.

Naturellement, charge pour nous de faire la part des choses, de ne pas généraliser et de ne pas juger un peuple sur quelques fous assassins. Charge aussi pour nous de ne pas nous laisser entraîner à la suite de l’intégrisme américain.

Merci Simon.

Je suis embêté. Je relis et je relis encore mon texte, à fin de trouver les mots qui pourraient faire croire à mon soutien envers le terrorisme. Pour moi, c’est un texte sur la douleur d’un pacifiste ce jour là, sur les milliers de victimes indirectes dont on a pas passé en boucle les communications téléphoniques... mais cela n’exclut en rien l’horreur qu’on vécu les victimes directes. Parler des victimes du douze septembre n’exclut pas celle du onze.
"à revoir encore les mêmes gens couverts de suie qui, hagards, pleurait leur peur ou leurs morts,
comme lui..."

je suis tout à fait d’accord avec toi lorsque tu dis : "Je ne pense pas qu’un Dieu quel qu’il soit puisse approuver la haine et la guerre. "

Je pensais que l’intro de mon texte était assez claire...Visiblement non...
C’est dommage.

Merci d’avoir pris le temps de me lire, (et peut-être de me relire après cette réponse !)
Sim.

Dur, dur aussi celui-ci.
Des images. Des mots simples, pour des émotions bien senties.
En tout cas chez moi c’est arrivé en plein cœur.
Bravo. Clo

Heureux que cela te touche.
Et encore merci.