En réponse à..

Moi j’aime tous les matins, quand les faciès des démons de la nuit se diluent dans la lumière du petit jour. Ceux que je préfèrais c’était les dimanches matins quand les enfants se glissaient entre nous, leurs rires et leurs chatouilles, les histoires qu’ils nous racontaient.
Remonter le temps... le temps du bonheur.
Amicalement. Clo

ça c’est formidable au moment où les petits diables se glissent dans le lit des parents, quels souvenirs ! clo, quel bonheur ces moments là...
et puis il y a le moment où l’on veut vite profiter de la fin de son rêve avant de s’habiller pour une nouvelle journée où il faudra, qu’on le veuille ou non, faire face !
Amicalement
frédéric

Je hais le lundi matin mais pour dire vrai je hais le matin quel qu’il soit.
Je voudais me lever à minuit et vivre la nuit, tout y est tellement plus doux, je retrouverais ma couette au petit matin à l’heure où les hommes s’éveillent et s’animent, vaquant à leurs occupations. Mais cessons de rêver...

Merci pour cette tranche de vie partagée...

Amitiés.

merci à toi, Delphine, pour ta visite
je comprends ton engouement pour la nuit c’est un moment que je chéri également, tout y est différent et semble plus simple..

Tranche de vie, peut-être aussi, douce rêverie, l’envie de retrouver la sensation bénie lorsque les petits se rapprochent (plus difficile avec des enfants adultes, différent en tout cas)
Mais aussi le doute, se lever ou sombrer ?
Voilà
Amitiés à toi aussi
Bise
frédéric

Et oui... il faut des lundis pour apprécier le week end.
Tu as fait remonter des souvenirs de mon papa. Il appréciait beaucoup cet instant suspendu où l’odeur de son café et le silence de la maison lui autorisait une rêverie éveillée... je me glissais à petits pas près de lui et je le regardais. Notre complicité est née dans ces instants volés aux premières lueurs du matin.
Voilà sur cette larme je m’échappe doucement de ce lundi matin pour retrouver ma "couette doudou" à moaaaaa !!!
Bisous du Sud
Babou*

un très doux moment de complicité en effet, ou alors quand les enfants se glissent dans le lit..
J’aime le matin tôt, la nuit tard, le silence propice à la réflexion, à la rêverie, à la création...
Et puis il y a en toile de fond de ce texte l’instant-clé où l’on se demande ce qui peut valoir de se lever encore une fois et s’il ne vaut pas mieux se laisser sombrer dans la tiédeur du sommeil et se laisser emporter définitivement...

je sais rien n’est simple et je suis un peu cyclothymique..

Bisous du Nord
papabul
ah ! bon, toi aussi couette-doudou ? hihi, j’adore le moment où je m’y glisse et m’y réchauffe près de ma femme.